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Le Jeune Engagé participe pour la deuxième année au défi "Février Sans Supermarché" lancé par En Vert Et Contre Tout ! Après le succès de l’opération collective « Février sans supermarché » de 2017, 2018 et 2019… on remet ça en 2020!Le but de ce défi? Encourager les commerces indépendants, redécouvrir les épiceries de quartier, soutenir les petits producteurs, favoriser la vente en vrac et le commerce local, repeupler les marchés ou encore réapprendre à n’acheter que l’essentiel. Mais c’est également l’opportunité de faire savoir aux grandes surfaces que nous ne sommes pas d’accord avec le sur-emballage, le kilomètre alimentaire qui explose les scores ou les politiques de prix qui écrasent les petits producteurs et tuent le commerce de proximité. EN 2018, PLUS DE 20’000 PERSONNES EN SUISSE ET EN FRANCE ONT PARTICIPÉ AU DÉFI, en 2019, LA BELGIQUE A FAIT EXPLOSER LES SCORES! Pour faciliter la démarche, différents groupes régionaux Facebook se mettent en place. Ces plateformes d’échange permettent à chacun de solliciter l’aide des autres membres, de partager conseils, recettes et bonnes adresses de sa région afin d’encourager les producteurs locaux, les commerces indépendants et susciter une réflexion sur notre mode de consommation. « Février sans supermarché » est avant tout un défi solidaire! Nous ne recevons aucun financement et notre travail est bénévole. Faire au mieux !
Voici les groupes et événements déjà mis en place, n’hésitez pas à y adhérer et à inviter vos connaissances! SUISSE Bern sans supermarché Bienne sans supermarché La Broye sans supermarché La Côte (VD) sans supermarché Chablais sans supermarché Fribourg sans supermarché Genève sans supermarché Jura / Jura Bernois sans supermarché Lausanne sans supermarché Neuchâtel sans supermarché Nord vaudois sans supermarché La Riviera (VD) sans supermarché Valais sans supermarché Val-de-Travers sans supermarché Zürich sans supermarché QUÉBEC Montréal sans supermarché FRANCE Ain sans supermarché Alpes de Haute-Provence sans supermarché Alpes Maritimes sans supermarché Aquitaine sans supermarché Ariège sans supermarché Bouches-du-Rhône sans supermarché Bourgogne sans supermarché Côtes-d’Armor sans supermarché Finistère sans supermarché Ille-et-Vilaine sans supermarché Morbihan sans supermarché Drôme sans supermarché Franche-Comté sans supermarché Le Gers sans supermarché Grenoble sans supermarché Hautes-Alpes sans supermarché Haute-Savoie sans supermarché Les Landes sans supermarché Languedoc-Roussillon sans supermarché Lille / Hauts-de-France sans supermarché Limousin sans supermarché Loir-et-Cher sans supermarché Loire Atlantique sans supermarché Région lyonnaise sans supermarché Maine et Loire sans supermarché Midi-Pyrénées sans supermarché Moselle sans supermarché Normandie sans supermarché Paris / Île de France sans supermarché Picardie sans supermarché La Réunion sans supermarché Sud / PACA sans supermarché Saint-Etienne sans supermarché Savoie / Tarentaise sans supermarché Strasbourg sans supermarché Val d’Argent sans supermarché Var sans supermarché Vaucluse sans supermarché Les Vosges sans supermarché BELGIQUE Andenne sans supermarché Anvers sans supermarché Braine-Le-Comte sans supermarché Bruxelles sans supermarché Charleroi sans supermarché Gand sans supermarché Genappe sans supermarché La Louvière sans supermarché Leuven / Louvain sans supermarché Liège sans supermarché Mechelen / Malines sans supermarché Mons sans supermarché Namur sans supermarché Nivelles sans supermarché Ottingnies Louvain-La-Neuve sans supermarché Philippeville sans supermarché Tournai sans supermarché Wavre sans supermarché Si vous voulez créer un groupe pour votre région, il suffit de nous envoyer un message ici: coucou [at] envertetcontretout.ch
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Depuis septembre dernier, les mobilisations pour le climat se sont accélérées. Depuis les marches pour le climat, suivies des grèves lancées par Greta Thunberg ou encore de l'Affaire du Siècle accusant l'Etat d'inaction climatique, une dynamique est née, portée principalement par la jeunesse face à l'urgence climatique.
Enthousiasmés par cette période de forte sensibilisations et de mobilisations, des jeunes ont souhaité aller plus loin. C'est à Toulouse, lors d'une conférence devant des étudiants que Maxime de Rostolan initie le projet de la Bascule. L'idée a été de créer un mouvement de lobby citoyen pour accélérer la transition écologique et solidaire. Quelques jours plus tard, la machine est lancée, près de 800 personnes indiquent être prêt à rejoindre l'aventure. Le projet prend réellement place début mars à Pontivy, en Bretagne où une cinquantaine de bénévoles décident d'installer le premier "Quartier de la Bascule". Il leur faudra trois semaines de travail acharné pour réhabiliter une clinique désaffectée de 6 000 m2 en un espace de vie commune au coeur du projet de la Bascule. Pour Maxime, un basculeur, « L'organisation à l'intérieur de la clinique de la transition est basé sur le principe de la gouvernance partagée qui permet une organisation solide dans laquelle chacun.e trouve sa place et peut mettre à disposition du mouvement toutes ses compétences.» Cette "clinique" tente de vivre au quotidien le changement qu’elle souhaite pour la société; dans nos rapports, dans nos assiettes, notre équilibre travail et vie personnelle… et c’est encore un grand chantier ! (extrait de La Bascule). Il s'agit donc de présenter un mode de vie alternatif, plus solidaire, plus humain, axé sur l'économie circulaire, et ainsi respectueux de la planète. Le QG du mouvement accueille donc un jardin, des espaces d'expression artistiques, ou encore des lieux d'échanges et de rencontres avec les acteurs du territoire. Difficile de ne pas faire de lien avec les différentes ZAD, comme celle de Notre-Dame-Des-Landes, qui avait également établie un modèle alternatif écologique et solidaire. Cependant, la Bascule souhaite être plus qu'un simple lieu de vie, "la clinique de la transition" a de belles ambitions. En effet, on peut la comparer à une forme de laboratoire aussi bien politique, social que culturel. La Bascule a pour ambition de faire émerger un nouveau modèle de société dans le respect de la nature et de l’humain grâce à l’intelligence collective, à la coopération et aux alternatives existantes dans toute leur diversité. Elle compte accélérer la transition démocratique, écologique et sociale en réunissant les moyens humains et financiers disponibles afin de propulser, catalyser et relier les initiatives engagées en ce sens." Sous forme de grandes réunions, les "basculeurs" ont tenté de tracer les objectifs du projet. Basée sur une forme de gouvernance partagée, il n'y a aucun leader, les décisions sont ainsi prises en assemblées.Les premières actions de la Bascule ont des portées politiques, elle souhaite remettre le citoyen au centre du processus décisionnel et ainsi revitaliser notre démocratie en perte de vitesse. S'affirmant apartisan, les basculeurs ne soutiennent aucun parti politique, et ne présentera pas de candidats. Leur action est de mobiliser la population sur les questions politiques en plaçant le citoyen sur le devant de la scène. En partenariat avec plusieurs associations, la Bascule porte projets concrets comme l’Assemblée Citoyenne, la formation au mandat d’élu municipal, ou bien le lobbying d’intérêt collectif. Finalement, La Bascule veut pouvoir créer de nouveaux récits basés sur un modèle de société souhaitable reposant sur le social et l'écologie. Cela passe notamment par la transformation de notre appareil productif. Elle milite pour que demain le modèle de travail soit plus désirable, coopératif et équitable, mais également résilient et énergétiquement sobre et efficace. Au final, La Bascule n'est pas un énième mouvement mais plutôt un laboratoire d'idées dans le but de créer un lien entre les acteurs de la transition et ainsi créer un vrai nouveau récit de ce que sera le monde de demain. Pour débuter ce projet fou mais totalement réalisable, Les basculeurs t'invitent à venir célébrer le début de cette aventure lors d'un rassemblement festif et citoyen, nommé «L'an zéro». Le mot d'ordre est de relever ensemble les défis démocratiques - Sociaux - Écologiques" Des formations, des ateliers, un village des alternatives mais aussi des artistes comme Shaka Ponk t'attendent le 30,31 Aout et 1er septembre dans la Creuse, sur le Plateau de Millevaches. Depuis plusieurs semaines, les jours chauds apparaissent, l'été arrive à grand pas. Une période ou l'on ouvre les placards pour sortir nos vêtements estivaux et ou l'on range les manteaux. Pour beaucoup, c'est aussi la période des sorties en ville pour faire les magasins et refaire sa garde-robe. Toutefois, bien que l'on puisse se faire plaisir en achetant de nouveaux vêtements, la planète n'apprécie pas. En effet, l'industrie du textile est la deuxième industrie la plus polluante après celle des transports. 18% de tous les pesticides sont englouties par la production, et cette dernière génère 10% des gaz à effet de serre. Le premier constat est de voir qu'il y a une nécessité de stopper cette frénésie de l'achat de vêtements neufs. Il faut mettre un terme à la fast-fashion du type Zara ou H&M qui change de collection tous les 15 jours pour pousser à l'achat. Cependant, nous aurons toujours besoin de nous vêtir, il y a donc un besoin de repenser complètement notre façon de produire. C'est le défi que s'est lancé Shak and Kai*, en créant une ligne de vêtements 100% recyclés et made in Europe. En effet, Morgann, un jeune belge, diplômé d'une école de commerce, a fait le constat que chaque année 80 milliards de vêtements sont produits dans le monde. Mais au même moment nous en jetons 100 millions de tonnes, dont 95% pourrait être recyclés. Pour contrer ce fléau, ce jeune a décidé d'être acteurs du changement en proposant une marque alternative, respectant une économie circulaire et éthique. Passionné de surf, il souhaite créer le futur du vêtement surfwear. Si le défi est de taille, la motivation et la détermination de Morgann, que nous avons pu contacter par téléphone, assure un bel avenir pour la marque, mais aussi pour le futur du textile. Plus concrètement, Shak and Kai a le projet d'utiliser pour ces vêtements 50% de chute de coton, c'est à dire les pièces qui seraient jetées par l'industrie classique, et 50% de polyester issu du recyclage des bouteilles en plastique, permettant de solidifier le textile. Au final, cette production nécessite que 50 litres d'eau par pièce contre 2500 litres pour un tee-shirt conventionnel, et bien sûr sans aucun pesticide ni produits chimiques. La production se veut 100% européenne pour assurer une fabrication éthique. Le fil et les boutons sont réalisés en Espagne et la confection se fait au Portugal. Pour finir, la marque de surfwear a décidé de faire un partenariat avec Surfrider pour nettoyer les océans. Pour chaque vêtement acheté, 1/2 kilo de déchets est ramassé sur nos plages. Pour voir le jour, la marque circulaire a décidé de lancer une campagne de crowdfunding pour démarrer la production. En 48h, Shak and Kai a dépassé le seuil pour débuter la confection. Mais la marque de surfwear souhaite aller encore plus loin en dépassant les 200% pour pérenniser l'activité de la marque et proposer plusieurs pièces. Si vous souhaitez soutenir cette jeune entreprise, ou bien acheter des vêtements durables ( confection et temps de vie), cliquez sur le lien ci-dessous pour soutenir la campagne de financement. Sources : Shak and Kai https://www.huffingtonpost.fr/2015/11/29/impact-textile-environnem_n_8663002.html * Aucun accord commercial avec l'entreprise citée. La Semaine Sans Viande, lancée par Monde Veggie, débute dès lundi : 7 jours pour découvrir l'alimentation végétarienne et ainsi se défaire des clichés. Des pizzas au lasagnes en passant par les veggie burgers, la bouffe veggie est surprenante. Pourtant, quand on ne connaît pas les recettes et les alternatives ont peu penser que végétaliser son alimentation est difficile. Voici donc pour vous aider, quelques possibilités à cuisiner ou à acheter. remplace ton steak par des galettes.Qui a dit que devenir végétarien, c'était forcement réduire son alimentation à manger des salades. Vous pouvez être végétarien et vous faire plaisir. Depuis plusieurs années, les galettes végétariennes, aussi appelées "steaks végés" se sont multipliées dans nos supermarchés. Vous avez donc le choix selon vos goûts. Céreal bio, Bjorg, Céréalpes dans le bio ou encore Herta et Carrefour pour le conventionnel. Ces aliments végés sont pratiques quand on a peu de temps, notamment chez les étudiants. Si vous avez un peu plus de temps, de multiples recettes sur internet existent pour vous faire vos galettes chez vous à partir de légumes, de fromages et de féculents. Petit coup de coeur à CleaCuisine ! Aujourd'hui, la majorité des restaurants proposent des alternatives à la viande. Vous pouvez donc vous en passer en trouvant des plats revisités et tout aussi bons. De plus, de nombreux restaurants végétariens ont ouvert dans les villes! Il suffit de les découvrir! Penser DIFFEREMMENT son assiettePour réussir complètement la transition végétarienne, il est nécessaire de repenser son assiette. En effet, depuis des décennies, ont nous a appris à manger un plat à base de viande quasiment tous les soirs. Pourtant, il est prouvé que cela n'est pas bon pour la santé. Manger de la viande apparait comme une facilité car demande peu d'imagination lorsqu'il faut cuisiner. Avec l'alimentation végétarienne, il suffit juste de se dire qu'il n'est pas nécessaire de remplacer la viande systématiquement par son équivalent en végétal. Si les steaks végés sont très bons, on découvre qu'un repas peu très bien être fait en utilisant quinoa, lentilles, légumes , devenant un plat consistant. Et pour couronner le tout, n'ayez pas peur de découvrir les épices et les sauces pour donner vie à vos plats. Le début d'une alimentation végétarienne peu sembler compliqué mais une fois que le poireau est lancé, vous ne ferez pas demi-tour.
L'alimentation végétarienne est riche en surprise, découvrez-la en participant à la semaine Sans viande ! Chaque jour, plus de 500 millions de pailles sont utilisées aux Etats-Unis uniquement. Cet objet, fort agréable pour siroter son cocktail est non recyclable compte tenu de sa petite taille. Si celui-ci n'est pas incinéré, il a de grande chance de finir dans nos océans. Un fléau écologique qui participe à la pollution marine. Si d'ici 2050 rien n'est fait, il y aura plus de plastique que de poissons dans nos océans. Pourtant, il existe plusieurs alternatives pour éviter les pailles en plastique, l'entreprise Loliware a décidé de relever le défi en créant la toute première paille comestible. Bois ton verre et mange ta paille.Manger le contenant après après avoir fini de manger n'est-il pas la meilleure façon de réduire de façon considérable notre production de déchets?. Aujourd'hui, la plus grande partie de nos déchets est produite durant notre consommation alimentaire, d'autant plus qu'avec l'apparition de café et de restaurants "rapide", les cups, pailles et emballages sont devenus des objets du quotidien.
L'entreprise américaine Loliware a décidé de combattre ce fléau en inventant des objets comestibles après utilisation. Cette entreprise créée par deux entrepreneures américaines a vu le jour en 2015 avec les premiers verres comestibles disponibles en 4 saveurs différentes. Dès sa sortie, les verres ont eu beaucoup de succès et se retrouvent désormais dans plusieurs grands hôtels et entreprises américaines. Récemment, Loliware a décidé d'aller plus loin en lançant la toute première paille comestible. Cette paille est donc sans plastique, comestible, compostable et 100% naturelle. Les deux fondatrices de Loliware sont actuellement en campagne de financement sur la plateforme Kickstarter dans le but d'amasser les 30 000 dollars pour lancer la production. En France, l'association Bas Les Pailles milite pour l'interdiction des pailles en plastique dans le pays via une pétition en ligne rassemblant plus de 40 000 personnes. Ces innovations promeuvent l'idée que nous pouvons nous passer du plastique jetable sous toute ses formes. Pour y arriver, le consommateur doit le plus souvent refusé son utilisation (pailles, sacs, cup..). Deux fois trop, c'est le nouveau constat que viens d'établir Greenpeace sur la consommation de viande dans les restaurations collectives chez les jeunes. Ceux-ci consommeraient deux fois plus que que les quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Cela a plusieurs conséquences importantes pour notre société. Premièrement, cette surconsommation de viande à l'échelle mondiale est responsable de 14,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (notamment a cause d'une déforestation massive).Le fait que les cantines proposent seulement une alimentation à base de protéines animales, cela cela induit les jeunes à penser qu'aucune autres alternatives existent pour bien se nourrir. Pire, cela indique que la consommation de viande est l'unique façon de manger équilibré. Cela s'oppose radicalement avec la multitude d'études évoquant la nécessité de réduire notre consommation de viande de 2 à 3 portions par semaine. Si l'école ne joue pas son rôle d'éducateur en terme d'alimentation, cela aura une conséquence sur le long terme. D'autant plus que 10% des jeunes se considèrent comme végétarien ou végétalien et donc ne sont pas représentés au sein des restaurations collectives. Mais d'ou vient cette surconsommation de viande? Plusieurs associations accusent les lobbies de l'agroalimentaire d'être trop présents dans les cantines. Distribution de kits pédagogiques, animation dans les classes ou encore affiches sur les plateaux-repas, les lobbies de la viande ont développé un business juteux à travers l'alimentation des plus petits. Nous devons donc demander au gouvernement de mieux encadrer la restauration collective sur plusieurs points : interdire les lobbies, proposer des alternatives végétales pour permettre un choix varié, sensibilisation sur l'impact de l'alimentation et augmentation de produits biologiques et locales. Cette semaine, les chefs d'Etats membres de l'ONU se rassemblent à New York pour une convention annuelle. Si hier, le discours agressif de Donald Trump a fait la une des journaux, une idée très interessante se fait plus discrète. Le site Lad Bible en partenariat avec Plastic Oceans foundation souhaite faire reconnaitre le continent de déchet comme le 196ème Etats du monde. Au large du pacifique s'est formé un amas de déchets qui serait aujourd'hui équivalent à la superficie de la France, soit 600 000 km2. Une catastrophe environnementale qui prend sa source avec les 8 millions de tonnes de plastiques jetées en mer chaque année soit l'équivalent d'un camion-benne toutes les minutes.
Complètement ignoré par les gouvernements, des citoyens ont décidé de prendre action pour que ce "continent" disparaisse au plus vite. Le site LAD Bible et Plastic oceans Foundation se sont associés pour tenter de faire reconnaitre Les Iles Poubelles ( Trash Islands) comme 196eme Etat à L'ONU. Pourquoi cette idée farfelue? Premièrement, en reconnaissant cet espace comme un Etat, les différents gouvernements ne pourront plus ignorés les faits et devront reconnaitre que des mesures doivent être prises. De plus, Les Iles Poubelles seront protégées par la charte environnementale de l'ONU qui impose à tous les pays de respecter des normes. En d'autres mots, en étant reconnues comme un Etat, les Iles Poubelles devront être nettoyées par les pays de l'ONU. Comment faire reconnaitre les Iles Poubelles comme Etat? Selon l'article 1 de la convention de 1993, un Etat reconnu doit avoir : un territoire défini, un gouvernement, une population permanente (ouvert à de multiples interprétations) et être capable d'interagir avec d'autres Etats. Si le territoire et le gouvernement ont été défini par les lanceurs, la détermination de la population doit encore être trouvée. C'est ici que vous pouvez contribuer à ce projet loufoque. En signant la pétition ci-dessous, vous acceptez de devenir un citoyen des Iles Poubelles. Rassurez-vous, vous n'avez pas besoin de déménager. La pétition sera utilisée comme appui à la candidature pour mettre en avant la volonté d'un grand nombre de citoyens dans la reconnaissance de ces iles. Les déchets plastiques sont une vraie aberration pour la planète. Si rien ne change, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans en 2050. Cependant, nous avons le pouvoir de faire changer les choses. Faire reconnaitre Les Iles Poubelles est un premier pas. Toutefois, pour contrer la concentration de plastique dans les océans nous devons nous attaquer à la façon dont nous consommons avec excès. Evitons d'acheter des produits suremballés en interpellant les entreprises cancres. De plus, il faut favoriser au maximum le recyclage. Si cela peut sembler comme une évidence, il est important de rappeler que seulement 30% du plastique est recyclé aujourd'hui. Est-il possible que tous les singes sauvages de la planète disparaissent? C'est ce que révèle une nouvelle étude publiée par Science Advances qui alarment sur le fait que nos plus proches cousins pourraient disparaître d'ici 20 à 30 ans. Des actions concrètes doivent être mise en place si nous ne voulons pas que nos petits enfants aient l'obligation de passer par les zoos pour voir des animaux. La destruction de la biodiversité causée par l'activité humaine n'est pas un constat né de la dernière pluie. Celle-ci a déjà réduit de 52% l'ensemble de la population de mammifères sur la planète. Cependant, les scientifiques alarment sur le fait que la disparition de certaines espèces pourrait être beaucoup plus éminente que prévu.
Les singes sont très fortement touchés par le besoin perpétuel de l'homme à s'enrichir. Et pour cause, quelque soit son pays, le singe voit son habitat disparaître aux profits des multinationales. " 60 % des espèces de singes sont en danger d’extinction en raison des activités humaines, tandis que 75 % des populations accusent déjà un déclin. Voilà le constat alarmant que dressent trente et un primatologues, dans la plus vaste étude jamais menée à ce jour." L'exploitation des carbures, produits agricoles (huile de palme,Soja), l'élevage intensif ou encore de minerais sont les principaux responsables de la destruction des habitats de mammifères sur la planète. Notre société de consommation effréné conduit à produire toujours plus pour jeter davantage et ainsi satisfaire une croissance pour les pays riches. Cependant, cette course au profit nous emmène droit dans le mur. Sur le long terme, nos activités industrielles intensives vont coûter plus cher que ce qu'elle rapporte réellement. Selon Oxfam, si les habitudes ne changent pas, le coût des émissions de CO² issues du charbon du seul G7 pourrait être de 260 milliards de dollars par an d'ici les années 2080. Si nous voulons que cette tendance change, nous devons faire évoluer nos mode de consommation. Consommer moins pour consommer mieux. Se libérer des énergies fossiles tout en optant pour un régime alimentaire moins carné. Eviter des produits controversés tel que l'huile de palme ou le soja industriel. Si le 45e président des Etats-Unis a décidé de déclarer la guerre à l'environnement, les consommateurs sont les seuls pouvant l'arrêter.
Début décembre, Change.org a mis en oeuvre "Changez 2017" , un projet qui a débuté par une consultation citoyenne de grande ampleur. En effet, plus de 43 000 personnes ont répondu à 18 questions, soit plus d'un million de réponses sur plusieurs aspects concernant les élections présidentielles. Grâce à ce sondage, nous apprenons que les sujets qui tiennent le plus à cœur les utilisateurs sont la défense des droits humains, la protection de l'environnement et la justice sociale.
Suite à cette consultation, la plateforme met à disposition un espace sur son site pour permettre aux citoyens de lancer une pétition en rapport avec les élections. Quant aux candidats à la présidentielle, ils peuvent également se connecter et répondre aux pétitions qui leurs sont adressées. Dans un second temps, les utilisateurs de Change.org choisiront parmi les pétitions créées, celles qu'ils considèrent primordiales à évoquer lors des débats. Les deux ambassadeurs citoyens choisis Adrien Sergent et Johan Reboul auront le devoir de transmettre ces pétitions aux différents candidats. "Changez 2017" est une occasion unique de replacer le peuple au coeur du débat politique et éviter des comportements populistes, une désinformation et une démagogie trop fréquentes dans certains partis.
L'impact est également négatif sur le point de vue sanitaire. En effet, l'huile de palme serait cancérigène après sa transformation. Une récente étude réalisée par l'EFSA (European food safety authority) démontre que l'huile de palme transformée contient des contaminants génotoxiques et cancérigènes formés au cours de son raffinage.
"L’EFSA a évalué les risques sanitaires associés aux substances toxiques se formant lors du raffinage à chaud (environ 200°C) des huiles végétales. L’huile de palme raffinée est particulièrement pointée du doigt à cause de sa teneur très élevée en esters glycidyliques d’acides gras (GE), 3-MCPD et 2-MCPD" "Cela présente un danger potentiel pour la santé des tranches d'âge les plus jeunes ayant une exposition moyenne, et la santé des consommateurs de toutes les tranches d’âge présentant une exposition élevée à ce contaminant. " EFSA L'entreprise Ferrero, détenteur de Nutella qui contient plus de 20% d'huile de palme dans sa composition, a réagi cette semaine aux accusations de l'EFSA en lançant une campagne de communication à travers l'Italie. Dans un spot publicitaire, il dénonce une «campagne injuste de dénigrement de l'huile de palme». En effet, l'huile de palme n'a pas la côte en Europe. Ces dernières années, les entreprises préfèrent abandonner l'huile de palme plutôt que de faire face à des polémiques. La consommation d'huile de palme dans les produits a baissé de 11%. Cependant, elle reste encore très présente dans les rayons mais également dans nos réservoirs (45% de la production de l'huile de palme). Certaines entreprises persistent toutefois à garder l'huile de palme dans leurs produits car cette huile reste la moins chère sur le marché. C'est le cas pour Ferrero mais également des marques françaises comme LU. La surconsommation des pays occidentaux d'huile de palme conduit des pays producteurs comme l'Indonésie et la Malaisie a détruire la plupart des forêts primaires dans le but de planter encore plus de palmiers à huile. Si l'aspect environnemental n'était pas suffisant à vous faire éviter cette huile, nous savons maintenant qu'elle est dangereuse pour votre santé. |
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