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Les temps sont durs pour Nutella! Nous évoquions il y a quelques mois que la marque perdait des parts de marché du fait de son utilisation de l'huile de palme. Aujourd'hui, de plus en plus d'entreprises misent sur des alternatives à la pâte à tartiner de Ferrero. En effet, comme tu le sais surement, l'utilisation de l'huile de palme est pointée du doigt pour ses conséquences désastreuses sur l'environnement. Sa production concentrée à 80% en Indonésie et en Malaisie, a fait disparaitre 50% des forêts indonésiennes en 50 ans. Une destruction qui s'accroit à mesure que la demande pour cette huile s'élève. Les industriels sont en effet, très friand de cette huile bon marché.
Mais le fait de produire sans réfléchir aux conséquences sociales ou environnementales est terminé. De plus en plus de consommateurs prennent conscience des enjeux environnementaux. Et aujourd'hui, un nouveau projet risque de faire encore plus d'ombre à Nutella. Ce projet, c'est Maman Outang, une pâte à tartiner équitable, à la recette équilibrée, et produite en France qui se passera bien évidement d'huile de palme. Son nom fait référence à l'animal emblématique des forêts touchées par la déforestation : l'orang-outan. Derrière ce projet, il y a Sensei : "Nous sommes un incubateur de marques engagées. Nous développons avec notre communauté une famille de produits alimentaires sains et éthiques. Pourquoi faire une nouvelle pâte à tartiner me diras-tu? En fait, c'est plus ingénieux que cela, ce nouveau produit n'est pas une simple pâte à tartiner, c'est un outil pour que les consommateurs reprennent le pouvoir, et choisissent de soutenir des projets soucieux de l'environnement. Aujourd'hui, le projet souhaite obtenir le soutien de 1 000 personnes pour s'assurer de l'adhésion des consommateurs. Dès lors, Sensei partira à la recherche d'un associé qui voudrait se lancer dans ce projet en rejoignant Mélanie, l'ingénieure agroalimentaire de l'équipe. Ce n'est pas tout, la pâte à tartiner souhaite pouvoir soutenir une association qui se bat pour la préservation des forêts. Des associations comme Kalaweit ou BOS ont été retenu pour un éventuel partenariat permettant de reverser une partie des bénéfices à celle-ci. Pour en savoir plus, découvres Maman outang ci-dessous.
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"Achète dans ta zone, pas sur Amazon", c'est l'idée que défend cet appel soutenu par plusieurs personnalités dont Ken Loach, et signée par plus de 16 000 personnes. À l'arrivée du Black Friday, cette fête importée des Etats-Unis qui pousse à la consommation grâce à des promotions, le collectif "Stop-Amazon" souhaite transformer la journée la plus lucrative pour les multinationales en "vendredi noir" pour Amazon. Pour les signataires de l'Appel, Amazon représente tous ce qui a de négatif dans notre modèle économique : aberration écologique, conditions sociales déplorables et évasion fiscale. La multinationale n'en finit plus d'être au centre de polémiques, du rythme infernal pour les employés, à la destruction de produits neufs retournés. Selon l'appel, "La multinationale a vendu plus de 11 milliards de produits l’année dernière. Ses prix bas, ses promotions quotidiennes poussent à la surconsommation et contribuent à la hausse des émissions de CO2 en démultipliant l’extraction des ressources, les transports par bateaux, avions ou camions. Amazon Web Services (AWS) est également numéro un mondial du cloud et ses data centers, ont généré autant de gaz à effet de serre que le Portugal en 2018." Le collectif poursuit avec le fait "qu'il est urgent de stopper la construction des nouvelles infrastructures d’Amazon et des autres entreprises du e-commerce et de nous mobiliser pour le développement d’une économie locale créatrice d’emploi, génératrice de lien social tout en étant compatible avec les impératifs climatiques. Pour porter cette exigence et ne plus laisser Amazon balayer d’un revers de main les droits sociaux et environnementaux, nous appelons à transformer le Black Friday 2019 en un « Vendredi noir pour Amazon ». Le 29 novembre, nous mènerons des actions citoyennes partout en France pour perturber l’activité d’Amazon et promouvoir des alternatives afin de libérer toujours plus de monde de son emprise néfaste." Sources : Stop-Amazon.fr https://www.liberation.fr/france/2019/11/24/avant-le-black-friday-mauvaise-promo-pour-amazon_1765351 Le 29 novembre prochain, et comme chaque année, notre société fête la surconsommation avec le Black Friday. Ce jour, hérité des Etats-Unis, est un jour de soldes très importantes dans les plus grandes enseignes, pour relancer une période de l'année où nous consommons moins. En effet, les industriels ont remarqué que suite aux vacances d'été, et l'arrivée de Noël, les consommateurs ralentissaient leur consommation pendant le mois de novembre. Quoi de mieux qu'une fête mondiale pour relancer la machine industrielle? Et ça marche!
En 2015, les Américains ont dépensé 67,6 milliards de dollars sur la seule journée du "vendredi noir", qui en fait la journée la plus lucrative pour les enseignes. Des soldes monstres qui donnent lieu à des scènes de chaos dans les magasins, ou des consommateurs s'arrachent des télévisions ou s'insultent pour une paire de chaussures. Tout ça pour bien souvent, acheter des produits que l'on n'a pas besoin. Selon un rapport de UFC Que-chosir , les réductions ramenées à leur prix d'origine, sont de de seulement 2% en moyenne. Avec des enjeux environnementaux qui interpellent de plus en plus, des entreprises ont décidé de s'opposer à ce vendredi noir. En effet, à l'initiative de Faguo, une marque de vêtements éthiques, plus de 200 marques françaises se sont engagées à ne pas participer à ce jour de soldes : "Nous ne voulions pas participer à la journée du Black Friday qui encourage la surconsommation. Nous étions mal à l’aise qu’elle soit imposée par le marché. Le vrai coût de cette journée est social et environnemental. Elle rend précaires les emplois en ne rémunérant pas les fabricants, les marques et les magasins. Elle contribue d’autre part au dérèglement climatique en encourageant la surproduction." (Faguo) Parmi ces marques nous retrouvons, NATURE & DÉCOUVERTES, HAST, JOONE, PICTURE ORGANIC CLOTHING, BERGAMOTTE, BONNE GUEULE, EMOI EMOI, TEDIBER, ROSEMOOD, LES RAFFINEURS, JAMINI, LEPANTALON … Ce jour, renommée "Make Friday Green Again", en référence aux déclarations de Trump, tente de recentrer notre consommation sur des nécessités, et cesser notre consommation à outrance, qui coûte à la planète et aux relations sociales. Ce vendredi 29 novembre, je dis non au Black Friday, je n'irai pas faire du shopping. Je préfère favoriser les petits commerces pour mes cadeaux de Noël. sources : https://www.faguo-store.com/fr/2019/11/faguo-reunit-200-marques-francaises-dans-un-collectif-make-friday-green-again/ https://www.quechoisir.org/actualite-black-friday-2016-des-rabais-au-rabais-n23267/ Selon les chiffres de France 2, 98% des 18/24 ans se disent concernés par les enjeux écologiques. Et cette prise de conscience passe notamment par notre régime alimentaire. En effet, de plus en plus de jeunes décident d'arrêter de manger de la viande et du poisson pour des questions environnementales.
Nous connaissons bien les effets dévastateurs de la surproduction de viande dans le monde. Chaque année, 74 milliards d'animaux sont tués pour nourrir l'humain. L'industrie de la viande est l'une des plus polluantes : on estime que 85% des surfaces déboisées de la forêt d’Amérique du Sud ont été dédiées à l’élevage. De plus, elle contribue selon les Nations Unies à 14,5% des émissions totales des gaz à effet de serre. Si cela n'était pas suffisant, la viande épuise les ressources en eau. Pour produire un kilo de boeuf, il faut plus de 15 000 litres d'eau. A cela, s'ajoute bien évidement la souffrance animale qui est le résultat d'une cadence infernale de production considérant l'animal comme un simple produit. En France 95% des cochons et 99% des lapins sont élevés de manière intensive. Les vidéos chocs de l214 ont démontré la violence des abattoirs qu'ils soient bio ou non. Depuis plusieurs mois, le mouvement Lundi Vert à lancer l'initiative de ne plus consommer de viande ni de poisson les lundis. Une action qui semble bien symbolique mais qui au contraire à toute son importance. En acceptant de participer au projet, vous acceptez de rejoindre une étude scientifique sur le changement alimentaire lancée par le CNRS, l'INRA et des quelques universités. Cette étude va constater le changement d'habitude alimentaire et son impact sur la société et ainsi l'environnement. Aujourd'hui, Lundi Vert va encore plus loin, en créant un partenariat avec les Restaurants Universitaires du pays. Chaque lundi, à partir de la mi-octobre, tous les étudiants auront le choix d'une alternative végétarienne pour participer eux aussi au lundi vert et ainsi réduire, voir arrêter leur consommation de viande. Une avancée importante, car nous parlons de plus de 60 millions de repas par an, et entre 400 000 et 500 000 repas servis le lundi. On l'attendait avec impatience, l'application BuyOrNot débarque sur IOS, la plateforme d'Apple, quelques mois après son lancement sur Android. Une petite révolution pour le consommateur engagé. En effet, BuyOrNot devient la première application qui vous aide à acheter de manière éthique. On connaissait déjà Yuka ou Kwalito, mais BuyOrNot va encore plus loin. L'application rejoint le cortège des actions menées par I-boycott, la première plateforme de boycott citoyen. Depuis quelques années, les citoyens ou les associations peuvent lancer une campagne de boycott contre une entreprise qui ne respecte pas des valeurs sociales ou environnementales. On retrouve par exemple une campagne visant Coca-Cola et son pillage des nappes phréatiques mexicaines ou encore la marque de biscuits LU pour son huile de palme (lancée par Le Jeune Engagé). Cependant, si les consommateurs mentionnaient leur boycott, il était difficile de connaitre les marques à éviter car les multinationales possèdent beaucoup de sous-marques. BuyOrNot arrive donc pour répondre à ce problème. Désormais, avant d'acheter un produit, tu peux le scanner avec ton téléphone pour savoir si la marque est visée par une campagne de boycott, et ainsi connaitre son impact sociétal ou environnemental. Mais l'application ne s'arrête pas là, grâce aux données de OpenFoodFact, tu pourras également connaitre le Nutri-score de ton produit, c'est à dire la note de A à E en fonction de sa valeur nutritionnelle. L'indice Nova, quand à lui t'informeras sur la transformation d'un produit. Finalement, grâce à un seul scan, tu pourras savoir si il y a des additifs à éviter, des allergènes et des labels comme le "Sans huile de palme" que nous attendions avec impatience! Un outil redoutable pour consommer mieux! L'application est donc disponible gratuitement sur la plateforme de télechargement IOS (Apple) et Android. Souvent peu connu du grand public, un enjeu climatique met en danger les populations de la région du Sahel, en Afrique. Il s'agit de la désertification. En effet, les vents et la forte chaleur crée des zones très arides, ce qui agrandit l'espace désertique au détriment des villages, et de la flore.
Au Burkina Faso, plusieurs villages font face à cette désertification, où le désert est entrain de grignoter les espaces habitables. Pour contrer ce phénomène, une association bretonne Awar Bonyolo a vu le jour en 2001. C’est une association solidaire en partenariat avec le village de Bonyolo au Burkina Faso. Son but est de faire connaître la culture africaine et de soutenir financièrement les projets de l’association burkinabée « Doanesson, dynamique contre la désertification et pour le développement de Bonyolo ». Il faut savoir que « Awar » signifie « bonjour » en lélé, le dialecte local. Un des grand projet de l'association est de combattre la désertification qui menace le village de Bonyolo en plantant des arbres autour du village. Grâce à ces actions, le vent est arrêté par la végétation, et donc ralentit la désertification, tout en offrant aux habitants une flore utilisée pour se nourrir. Depuis que ce projet a été mis en place, c’est plus de 5000 arbres qui ont été plantés à Bonyolo. ⠀En août 2017, le reboisement a été organisé en collaboration avec l’association des élèves de Bonyolo. Il a été financé par l’opération « 1€ = 1 arbre », menée par le lycée Saint-Joseph et l’école Notre Dame de Lamballe, qui avait rapporté 535€. L'action se reproduit chaque année par l’association des élèves de Bonyolo qui s’occupe de ce beau projet. Le travail de Awar Bonyolo et Doanesson ne s'arrête pas là, les deux associations tentent d'améliorer la vie à Bonyolo, en permettant aux enfants, la meilleure éducation possible. Pour ce faire, l'association propose également des parrainages d'enfants du primaire et du secondaire, permettant d'acheter le matériel scolaire nécessaire et payer les frais de scolarité. Le Jeune Engagé soutient l'association Awar Bonyolo, le village de Bonyolo et toutes les actions menées contre la désertification. Pour découvrir ce beau projet, rendez-vous sur leur page Facebook, ci-dessous. Depuis septembre dernier, les mobilisations pour le climat se sont accélérées. Depuis les marches pour le climat, suivies des grèves lancées par Greta Thunberg ou encore de l'Affaire du Siècle accusant l'Etat d'inaction climatique, une dynamique est née, portée principalement par la jeunesse face à l'urgence climatique.
Enthousiasmés par cette période de forte sensibilisations et de mobilisations, des jeunes ont souhaité aller plus loin. C'est à Toulouse, lors d'une conférence devant des étudiants que Maxime de Rostolan initie le projet de la Bascule. L'idée a été de créer un mouvement de lobby citoyen pour accélérer la transition écologique et solidaire. Quelques jours plus tard, la machine est lancée, près de 800 personnes indiquent être prêt à rejoindre l'aventure. Le projet prend réellement place début mars à Pontivy, en Bretagne où une cinquantaine de bénévoles décident d'installer le premier "Quartier de la Bascule". Il leur faudra trois semaines de travail acharné pour réhabiliter une clinique désaffectée de 6 000 m2 en un espace de vie commune au coeur du projet de la Bascule. Pour Maxime, un basculeur, « L'organisation à l'intérieur de la clinique de la transition est basé sur le principe de la gouvernance partagée qui permet une organisation solide dans laquelle chacun.e trouve sa place et peut mettre à disposition du mouvement toutes ses compétences.» Cette "clinique" tente de vivre au quotidien le changement qu’elle souhaite pour la société; dans nos rapports, dans nos assiettes, notre équilibre travail et vie personnelle… et c’est encore un grand chantier ! (extrait de La Bascule). Il s'agit donc de présenter un mode de vie alternatif, plus solidaire, plus humain, axé sur l'économie circulaire, et ainsi respectueux de la planète. Le QG du mouvement accueille donc un jardin, des espaces d'expression artistiques, ou encore des lieux d'échanges et de rencontres avec les acteurs du territoire. Difficile de ne pas faire de lien avec les différentes ZAD, comme celle de Notre-Dame-Des-Landes, qui avait également établie un modèle alternatif écologique et solidaire. Cependant, la Bascule souhaite être plus qu'un simple lieu de vie, "la clinique de la transition" a de belles ambitions. En effet, on peut la comparer à une forme de laboratoire aussi bien politique, social que culturel. La Bascule a pour ambition de faire émerger un nouveau modèle de société dans le respect de la nature et de l’humain grâce à l’intelligence collective, à la coopération et aux alternatives existantes dans toute leur diversité. Elle compte accélérer la transition démocratique, écologique et sociale en réunissant les moyens humains et financiers disponibles afin de propulser, catalyser et relier les initiatives engagées en ce sens." Sous forme de grandes réunions, les "basculeurs" ont tenté de tracer les objectifs du projet. Basée sur une forme de gouvernance partagée, il n'y a aucun leader, les décisions sont ainsi prises en assemblées.Les premières actions de la Bascule ont des portées politiques, elle souhaite remettre le citoyen au centre du processus décisionnel et ainsi revitaliser notre démocratie en perte de vitesse. S'affirmant apartisan, les basculeurs ne soutiennent aucun parti politique, et ne présentera pas de candidats. Leur action est de mobiliser la population sur les questions politiques en plaçant le citoyen sur le devant de la scène. En partenariat avec plusieurs associations, la Bascule porte projets concrets comme l’Assemblée Citoyenne, la formation au mandat d’élu municipal, ou bien le lobbying d’intérêt collectif. Finalement, La Bascule veut pouvoir créer de nouveaux récits basés sur un modèle de société souhaitable reposant sur le social et l'écologie. Cela passe notamment par la transformation de notre appareil productif. Elle milite pour que demain le modèle de travail soit plus désirable, coopératif et équitable, mais également résilient et énergétiquement sobre et efficace. Au final, La Bascule n'est pas un énième mouvement mais plutôt un laboratoire d'idées dans le but de créer un lien entre les acteurs de la transition et ainsi créer un vrai nouveau récit de ce que sera le monde de demain. Pour débuter ce projet fou mais totalement réalisable, Les basculeurs t'invitent à venir célébrer le début de cette aventure lors d'un rassemblement festif et citoyen, nommé «L'an zéro». Le mot d'ordre est de relever ensemble les défis démocratiques - Sociaux - Écologiques" Des formations, des ateliers, un village des alternatives mais aussi des artistes comme Shaka Ponk t'attendent le 30,31 Aout et 1er septembre dans la Creuse, sur le Plateau de Millevaches. Le compte a rebours à sonné pour Dulan. Ce petit primate fait partie d'un groupe d'une centaine d'orangs-outans et de plus de 200 gibbons qui ont était découvert par l'association française Kalaweit en Indonésie dans une forêt d'environ 1500 hectares. Une très bonne nouvelle quand on sait que la population de singes sauvages en Indonésie et en Malaisie ne cesse de s'effondrer. On estime qu'en 2025, les orangs-outans pourraient disparaitre à l'état sauvage. Toutefois, rien n'est encore joué pour protéger cet oasis de biodiversité. En effet, comme c'est le cas à travers tout le pays, des entreprises souhaitent tout raser. Encerclés à l'ouest et à l'est par une plantation d'huile de palme, ainsi qu'au nord et au sud, par une carrière de charbon, les jours sont comptés pour ces animaux. Des propositions d'achats ont déjà été lancé aux propriétaires de la forêt. Si rien n'est fait, d'ici quelques mois, ce trésor naturel sera recouvert de palmiers, les primates seront capturés ou tués. Kalaweit n'est pas prêt de baisser les bras! Depuis plus de 20 ans, l'association a sauvé des centaines de primates, notamment des gibbons et a réussi à protéger plus de 670 hectares de forêt. Aujourd'hui, le projet Dulan est un défi de taille. Kalaweit souhaite racheter ces 1500 hectares de forêt pour en faire une réserve naturelle. Du fait de sa proximité avec un lac, cette forêt doit rester intacte pour préserver la vie des habitants et de l'économie locale qui vit de la pêche. D'autant plus que ce sont ces habitants qui ont protégé cette forêt depuis de nombreuses années. Plus de forêt signifierait plus d'arbres et donc une érosion qui menacerait la vitalité du lac. Les habitants sont donc favorables au rachat par l'association. Acheter 1500 hectares de forêt, ce n'est pas rien. Un hectare de forêt coute environ 900 euros. On vous laisse faire le calcul, mais il faudra beaucoup d'argent pour sauver cette forêt. Kalaweit compte donc sur nous pour aider à financer ce sauvetage d'urgence. Pour finir l'année, faites une action concrète en aidant Kalaweit à sauver une biodiversité rare. Si aujourd'hui, nous nous efforçons à éviter l'huile de palme, soutenir des projets concrets comme celui-la est crucial si nous voulons voir des forêts en Indonésie dans 10 ans. En donnant 10 euros, vous participez à sauver 100M2 de forêt, n'est-ce pas un beau cadeau pour le temps des fêtes ? Le Jeune Engagé vient de participer! A qui le tour ? Mardi dernier, Cash Investigation a encore fait (trop) bien son travail en dévoilant un nouveau scandale environnemental, la pollution plastique. Des plages jonchées de déchets à des rivières de bouteilles en plastique, on constate que la situation actuelle est critique. Si nous connaissions bien les ravages du plastique dans nos océans, Cash nous a démontré comment cette pollution cache un business très rentable pour les producteurs de plastiques et que les lobbies sont prêt à tout pour que notre demande pour cette matière continue d'augmenter au détriment de la faune marine.Si d'ici 2050 rien n'est fait pour arrêter cette tendance, il y aura plus de plastique dans les océans que de poissons. Difficile de boycotter une industrie qui ne vend pas directement au consommateur. Le plastique se retrouve partout. Toutefois, il est possible de partir en guerre contre l'industrie du plastique, il suffit simplement de revoir la façon dont nous consommons. Cela pourrait sembler difficile, cependant il s'agit de simples habitudes à prendre, qui sont dans la majorité du temps, appréciées par notre portefeuille. Les montagnes de déchets plastiques aperçues dans Cash se retrouvent la plupart du temps loin de la France, notamment en Asie, où la pollution plastique est devenu un véritable danger sanitaire tout comme en Afrique. Cependant, la France et l'Europe participe également à la pollution marine. Aujourd'hui, la mer Méditerranée souffre d'une pollution qui détruit tout un écosystème. Selon une étude publiée dans Science, 54 000 à 145 000 tonnes de déchets finissent dans cette mer chaque année. Nous avons donc notre responsabilité dans ce fléau. il est temps d'agir en conséquence. Depuis plusieurs années, éviter le plastique à usage unique n'a jamais été aussi simple. De multiples alternatives fleurissent partout en Europe pour proposer un futur durable à nos océans. En France, l'Association BasLesPailles est en première ligne pour tenter de faire interdire les pailles en plastique du pays. Ce petit bout de plastique est un véritable fléau. Du fait de sa petite taille, elle n'est pas recyclable et se faufile très souvent dans nos égouts, et donc rejoint l'océan. Une vidéo d'une tortue avec un bout de paille dans le nez a beaucoup fait réagir. il s'agit d'une conséquence directe du cocktail que vous buvez en terrasse. Pour éviter cela, l'association préconise l'utilisation de pailles en Inox, en bamboo ou en carton. Facile, pratique et économique, il n'y a pas de raison de retourner au plastique. Dans les restaurants ou les bars, n'hésitez pas à demander votre boisson sans paille. Pour éviter tous les emballages plastiques, il faut adopter un nouveau mode de vie qui ne repose pas sur l'alimentation transformée. En effet, cette dernière est une grande consommatrice d'emballages. Cuisinez chez soi, favoriser les magasins en vrac ( souvent moins chers), manger localement et de saison sont toutes les techniques pour éviter le plastique lors de vos courses. Comment un supermarché peut-il se vanter de vendre du bio emballé dans trois couches de plastique? Il es préférable de trouver le marché le plus proche plutôt que d'acheter des légumes biologiques qui ont fait 5000 km tout en étant suremballés. EVITEZ LE PLASTIQUE FACILEMENT : / Avoir sa tasse de café réutilisable pour éviter les tasses jetables / Bannir complètement le sac en plastique, favorisez le Tote bag. / Remplacer la bouteille d'eau par une gourde. Pour les amateurs d'eau gazeuse, les machines SodaStream permettent de faire son eau gazeuse chez soi. / Refuser les pailles et tout autre plastique à usage unique. / Evitez la nourriture transformée ou le FastFood qui pratiquent le sur-emballage. / Ne pas jeter son mégot dans la rue, peu importe l'endroit, car il contient du plastique et produits chimiques nocifs pour l'environnement. / Acheter en vrac / Ramasser un déchet à chaque visite d'une plage ou d'un cours d'eau. / Toujours avoir des poches de tissus pour refuser les emballages lors de consommation de produits sur le pouce. / Découvrir les alternatives sans déchet de la salle de bain ici /Favoriser les contenants en aluminium ou en verre pour les boissons car recyclables à l'infini ( en les recyclant bien sûr) / Faire pression sur les entreprises qui font du sur emballage. / Et le plus important, c'est d'élever sa voix! Faites vous entendre sur ce fléau, parlez en autour de vous, faites du bruit. Partagez-nous vos astuces pour faire de cette année, une année sans plastique ! Sources http://www.seas-at-risk.org/images/pdf/publications/SeasAtRiskBackgroundreportSingleuseplasticsandmarineenvironment.compressed.pdf Depuis plusieurs années, des centaines de vidéos sont partagées sur les réseaux sociaux, dénonçant les conséquences dramatiques du plastique qui finissent dans les océans de la planète. Des plages jonchées de déchets à des rivières de bouteilles en plastique, on constate que la situation actuelle est critique. Si d'ici 2050 rien n'est fait pour arrêter cette tendance, il y aura plus de plastique dans les océans que de poissons. Voilà la raison pourquoi nous devons nous engager contre le plastique dès aujourd'hui. Cet été, plusieurs façons d'éviter de polluer la mer par vos actions quotidiennes. Vous relevez le défi? Généralement, les vidéos de montagnes de déchets plastiques se retrouvent loin de la France, notamment en Asie, où la pollution plastique est devenu un véritable danger sanitaire tout comme en Afrique. Cependant, la France et l'Europe participe également à la pollution marine. Aujourd'hui, la mer Méditerranée souffre d'une pollution qui détruit tout un écosystème. Selon une étude publiée dans Science, 54 000 à 145 000 tonnes de déchets finissent dans cette mer chaque année. Nous avons donc notre responsabilité dans ce fléau. il est temps d'agir en conséquence. Depuis plusieurs années, éviter le plastique à usage unique n'a jamais été aussi simple. De multiples alternatives fleurissent partout en Europe pour proposer un futur durable à nos océans. En France, l'Association BasLesPailles est en première ligne pour tenter de faire interdire les pailles en plastique du pays. Ce petit bout de plastique est un véritable fléau. Du fait de sa petite taille, elle n'est pas recyclable et se faufile très souvent dans nos égouts, et donc rejoint l'océan. Une vidéo d'une tortue avec un bout de paille dans le nez a beaucoup fait réagir. il s'agit d'une conséquence directe du cocktail que vous buvez en terrasse. Pour éviter cela, l'association préconise l'utilisation de pailles en Inox, en bamboo ou en carton. Facile, pratique et économique, il n'y a pas de raison de retourner au plastique. Dans les restaurants ou les bars, n'hésitez pas à demander votre boisson sans paille. Pour éviter tous les emballages plastiques, il faut adopter un nouveau mode de vie qui ne repose pas sur l'alimentation transformée. En effet, cette dernière est une grande consommatrice d'emballages. Cuisinez chez soi, favoriser les magasins en vrac ( souvent moins chers), manger localement et de saison sont toutes les techniques pour éviter le plastique lors de vos courses. EVITEZ LE PLASTIQUE FACILEMENT : / Avoir sa tasse de café réutilisable pour éviter les tasses jetables / Bannir complètement le sac en plastique, favorisez le Tote bag. / Remplacer la bouteille d'eau par une gourde. Pour les amateurs d'eau gazeuse, les machines SodaStream permettent de faire son eau gazeuse chez soi. / Refuser les pailles / Evitez la nourriture transformée ou le FastFood qui pratiquent le sur-emballage. / Ne pas jeter son mégot dans la rue, peu importe l'endroit, car il contient du plastique et produits chimiques nocifs pour l'environnement. / Acheter en vrac / Ramasser un déchet à chaque visite d'une plage ou d'un cours d'eau. Pour commencer la vie sans plastique, ou en tout cas avec moins de plastique, le site SansBPA.com détient tout les éléments pour aider dans la transition. Partagez-nous vos astuces pour faire de cet été, un été sans plastique ! Sources http://www.seas-at-risk.org/images/pdf/publications/SeasAtRiskBackgroundreportSingleuseplasticsandmarineenvironment.compressed.pdf |
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