|
Cliquer ici pour modifier.
|
Cliquer ici pour modifier.
|
Cliquer ici pour modifier.
|
En ce début d'année, les nouvelles ne sont pas très bonnes. L'Australie est victime d'incendies sans précédent, l'Indonésie est une nouvelle fois sous les eaux, et des scientifiques ont révélé que l'année 2019 avait été la plus chaude jamais enregistrée. L'impact de l'humain sur la planète se ressent partout à travers le monde. Si cela peut décourager certains, d'autres se lancent le défi d'être les acteurs du monde de demain.
C'est le cas du projet UP FOR EUROPE, une initiative qui réunit 9 jeunes qui ont décidé de changer l'Europe. Trop ambitieux? Pas du tout, car l'équipe d'étudiant.e.s se donnent les moyens d'agir en proposant un projet concret pour placer l'écologie au centre de l'Europe. Tout commence quand Julie, une étudiante de Sciences-Po Toulouse/TBS souhaite finaliser ses études autour d'un projet concret alliant ses valeurs écologistes et sa détermination à faire changer les choses. Rapidement, elle constate la motivation de beaucoup de jeunes, déterminés à s'engager pour la planète. Toutefois, la plupart du temps, les initiatives citoyennes restent isolées et peinent à se faire entendre. Julie décide ainsi de lancer le projet UP FOR EUROPE avec l'aide de 8 autres étudiants et étudiantes. L'idée est simple : parcourir l'Europe (en train) afin de rencontrer, échanger et rassembler les idées écolos et sociales de toute l'Europe. Le but étant ainsi de faire le point sur les initiatives européennes et de les amplifier. UFE a bien compris que les initiatives citoyennes ne doivent pas rester seulement à échelle locale, c'est pour cela que l'équipe souhaite porter le message jusqu'à Bruxelles devant les instances politiques européennes. Ainsi, le périple débute en mars pour une durée de 4 mois. Les étudiants partiront de Toulouse, et traversons 16 pays européens de l'Allemagne, à la Pologne en passant par le Danemark et les Pays-Bas. (carte ci-dessous). Ils rencontreront étudiants, jeunes ou encore des associations! UP FOR EUROPE se définit comme une initiative souhaitant Sensibiliser, transmettre et partager les clés de compréhension des enjeux climatiques et environnementaux en Europe, Créer un nouveau narratif pour une Europe écologique et sociale qui sera accompagné de 10 propositions politiques concrètes revendiquées par la jeunesse et, Rassembler et unir toutes les forces vives de la jeunesse pour une transition écologique et sociale en Europe Le Jeune Engagé est fier de soutenir UP FOR EUROPE pour une "écologie sans frontières", en leur souhaitant un bon voyage! Découvrez-vite leur site pour pouvoir suivre en direct ce voyage prometteur dès mars prochain!
0 Commentaires
Souvent peu connu du grand public, un enjeu climatique met en danger les populations de la région du Sahel, en Afrique. Il s'agit de la désertification. En effet, les vents et la forte chaleur crée des zones très arides, ce qui agrandit l'espace désertique au détriment des villages, et de la flore.
Au Burkina Faso, plusieurs villages font face à cette désertification, où le désert est entrain de grignoter les espaces habitables. Pour contrer ce phénomène, une association bretonne Awar Bonyolo a vu le jour en 2001. C’est une association solidaire en partenariat avec le village de Bonyolo au Burkina Faso. Son but est de faire connaître la culture africaine et de soutenir financièrement les projets de l’association burkinabée « Doanesson, dynamique contre la désertification et pour le développement de Bonyolo ». Il faut savoir que « Awar » signifie « bonjour » en lélé, le dialecte local. Un des grand projet de l'association est de combattre la désertification qui menace le village de Bonyolo en plantant des arbres autour du village. Grâce à ces actions, le vent est arrêté par la végétation, et donc ralentit la désertification, tout en offrant aux habitants une flore utilisée pour se nourrir. Depuis que ce projet a été mis en place, c’est plus de 5000 arbres qui ont été plantés à Bonyolo. ⠀En août 2017, le reboisement a été organisé en collaboration avec l’association des élèves de Bonyolo. Il a été financé par l’opération « 1€ = 1 arbre », menée par le lycée Saint-Joseph et l’école Notre Dame de Lamballe, qui avait rapporté 535€. L'action se reproduit chaque année par l’association des élèves de Bonyolo qui s’occupe de ce beau projet. Le travail de Awar Bonyolo et Doanesson ne s'arrête pas là, les deux associations tentent d'améliorer la vie à Bonyolo, en permettant aux enfants, la meilleure éducation possible. Pour ce faire, l'association propose également des parrainages d'enfants du primaire et du secondaire, permettant d'acheter le matériel scolaire nécessaire et payer les frais de scolarité. Le Jeune Engagé soutient l'association Awar Bonyolo, le village de Bonyolo et toutes les actions menées contre la désertification. Pour découvrir ce beau projet, rendez-vous sur leur page Facebook, ci-dessous. Il s'appelle Drigbe Jo, il a 34 ans et il a décidé de s'engager contre la pollution de plastique qui hante son pays, la Côte d'Ivoire. Son parcours est impressionnant. Drigbe a du quitter le lycée par manque de moyens financiers, il s'est donc retrouver rapidement sans emploi. Pourtant, malgré peu de ressources, il compte bien apporter sa contribution pour un monde plus sain. changer le monde, un nettoyage à la foisCe jeune ivoirien a décidé de lancer son ONG en 2008, nommé OJSP, l'organisation des jeunes pour la lutte contre l'insalubrité publique. Celle-ci est reconnue par les autorités du pays depuis 2009. Les actions de L'ONG sont variées. D'une manière concrète, l'organisation met en place des journées de nettoyage, invitant les locaux à nettoyer leur quartier. Puis, Drigbe Jo tente de sensibiliser les jeunes contre la pollution en visitant les écoles et en invitant les jeunes à rejoindre son initiative. Depuis, 2008, l'ONG a eu un impact très positif et a pu participer à l'amélioration de vie de centaines d'habitants. Toutefois, il reste encore beaucoup à faire dans un pays menacé par une accumulation de déchets sauvages. L'ONG manque de moyens financiers pour pouvoir avoir encore plus d'impact. C'est pour cela que Le Jeune Engagé a décidé de réaliser cet article, Drigbe représente un véritable exemple pour la jeunesse en montrant qu'à partir de pas grand chose on peut contribuer à protéger la planète. Aujourd'hui, Le Jeune Engagé souhaite aider Drigbe à poursuivre son travail en lançant une cagnotte en ligne. Chacun est invité à venir déposer UN EURO, soit le prix d'un café. Une petite contribution comme celle-ci pourrait avoir un impact important si nous sommes plusieurs à soutenir cette initiative. HOMMAGE - Le 9 avril dernier, une embuscade par une milice armée a causé la mort de 6 rangers et en a blessé un septième dans la réserve des Virunga en République Démocratique du Congo. Ces hommes ont courageusement donné leur vie pour la protection des gorilles, un quart des 880 gorilles de montagne encore vivants réside dans le parc. "Depuis 1996, 175 gardes ont payé de leur vie la protection du parc national des virunga. " Le parc des Virunga représente la plus vieille et la plus grand réserve africaine avec plus de 800 000 hectares. Créé en 1925, le parc est devenu un refuge pour la population de gorilles de montagne, notamment après les efforts de la primatologue Dian Fossey. Ce parc est aussi un refuge pour les gorilles des plaines orientales, chimpanzés, okapis, lions ou encore éléphants.
Malgré le symbole que représente ce parc dans la lutte pour la biodiversité, celui-ci est loin d'être à l'abri de violences. En effet, il se retrouve au centre d'affrontements, notamment dans les provinces du Nord-Kivu au Congo, où des dizaines de groupes armés s’attaquent à la population locale et se battent pour la sécurité. Le directeur des parcs nationaux de la RDC, Cosma Wilungula a affirmé que l'embuscade avait été réalisé par la milice armée Maï Maï, mais la raison reste encore floue. Ce n'est pourtant pas la première fois que les rangers du parc sont la cible des milices armées. En 2014, le directeur du parc, Emmanuel de Mérode avait été la cible d'une embuscade dont il survécu malgré deux blessures par balles. Cette zone géographique est donc très convoitée. Que ce soit par les milices armées souhaitant prendre le pouvoir, ou encore les sociétés pétrolières intéressées par les gisements tout comme les braconniers au centre d'un business lucratif, le parc des Virunga est constamment menacé. Pourtant, cela n'empêche pas que des hommes dévoués se battent chaque jour pour tenter de protéger ce lieu unique. Grace à eux, les gorilles existent toujours, et le parc des Virunga n'est pas encore une plateforme pétrolière. Pour en apprendre plus sur le travail extraordinaire que font les rangers du parc des Virunga c'est ici : L'enjeu mondial de la lutte contre la pollution des mers par le plastique est bien connu de tous. Chaque jour, des millions de tonnes de plastique finissent dans les océans et menacent une grande partie de l'écosystème marin. On estime que si rien n'est fait avant 2050, il y aura autant de plastique que de poissons dans nos océans. Un constat alarmant qui doit nous faire réagir sur notre production de plastique et la gestion de nos déchets à travers le monde. Certains citoyens n'attendent pas une action gouvernementale pour créer le changement. C'est le cas de Kennedy et Dipali et plusieurs activistes , habitants du Ghana, qui ont lancé l'association "Plastic Punch" pour combattre la pollution plastique dans leur pays. Une cagnotte pour financer les actionsPlastic Punch regroupe des activistes et des professionnels dans plusieurs domaines pour sensibiliser les populations aux dangers du plastique, et mettre en place des solutions innovantes pour nettoyer les zônes côtières tout en permettant aux communautés locales de générer des revenus en réutilisant et recyclant le plastique récolté. Un projet abouti prenant en compte toutes les conséquences du plastique, et en proposant des solutions à tous les niveaux pour combattre à court et long terme la pollution marine.
Le 17 mars dernier, Plastic Punch a opéré une action de nettoyage de grande ampleur sur une plage, là où les tortues viennent pondre. (voir photo ci-dessous) Cela a permis de sensibiliser les citoyens sur la nécessité de combattre la pollution. Cette association a besoin de notre aide pour continuer leurs actions et ainsi rendre à la nature les belles plages du Ghana et protéger la population. Ils ont lancé une campagne de crowdfunding en ligne, c'est à dire une cagnotte virtuelle pour amasser de l'argent. Avec ces fonds, Plastic Punch compte organiser de nouvelles journées de sensibilisation et de communication ainsi que de nouveaux nettoyages de plages tout en soutenant d'autres associations environnementales. Il manque 40 euros à trouver pour que l'objectif des 550 euros soit franchi avant les six prochains jours. Le montant de votre don est totalement libre en fonction de ce que vous pouvez donner. Une petite action à grande répercussion pour nos océans. Un grand merci au travail de Plastic Punch, Le Jeune Engagé soutient vos initiatives et espèrent un bel avenir pour l'association.
La situation devient catastrophique en Indonésie et particulièrement à Bali. Cette île de beauté, très prisée par les touristes, subit un enjeu de taille sur la gestion des déchets. Hébergeant 4 millions de balinais et accueillant autant de touristes par an, ce sont 13 000 mètres cubes de déchets qui sont déversés dans les décharges. La gestion de ses déchets et très mal organisée, et si malgré tout, des camions font la récolte, très souvent ces déchets finiront dans la rivière la plus proche. Une solution à court terme qui aura de graves conséquences sur le pays ainsi que sur nos océans. La pollution des terres et cours d'eau est responsable de la prolifération de nombreuses maladies dont la dengue. D'autant plus que l'insalubrité de l'eau met en danger les enfants. Ce plastique finira par évidence dans l'océan. Rappelons que si rien ne change, en 2050 il y aura plus de plastique en mer que de poissons. Pour autant, le changement est possible pour préserver un pays si riche en biodiversité. Un entrepreneur indonésien l'a très bien compris et a décidé de lancer sa compagnie dans le but de trouver des alternatives au plastique. Kevin Kumala est un jeune ecoEntrepreneur qui a lancé AVANI, une entreprise qui produit du matériel de cuisine et des sacs en bioplastiques totalement compostables. L'entreprise s'est fait connaitre quand son fondateur a dissous un sac Avani dans de l'eau et en a bu le contenu. Un coup de communication pour expliquer que le bioplastique fait à partir de végétaux tel que le cassava, le blé ou encore la fibre de canne à sucre est une solution zéro déchet pour le pays. L'entreprise compte ainsi affronter l'industrie du plastique ainsi que les entreprises soi-disantes "éco-friendly" fabriquant des sac biodégradables qui en réalité renferment du pétrole. Les sacs en bioplastique d'Avani ont la texture et la rigidité du plastique et bien que ils ne soient pas les précurseurs dans ce domaine, ils sont les premiers a avoir passer le test sanitaire de non-toxicité pour les animaux. Avani est une solution durable pour le pays qui doit répondre à un tourisme de masse et doit réussir à le transformer en tourisme durable. L'entreprise espère réussir son expansion dans les autres pays asiatiques également très menacés par les déchets plastique. Vous pouvez également avoir un impact sur la réduction des déchets lorsque vous voyagez. Evitez d'utiliser des sacs en plastique pour un rien, munissez-vous de pailles en bambou et parlez-en aux restaurants que vous visitez. Le tourisme est très important pour nombreux pays, un tourisme éco-responsable se mettra en place quand la demande sera importante.
Ce jeune français a eu l'idée de ce projet après avoir été déçu de l'univers de l’ingénierie le jugeant trop "tourner vers le business " et « m’as-tu vu ». Il décide donc de créer son association ; La PECC qui a pour but de créer un mouvement collaboratif en associant la consommation et l’innovation du monde actuel avec le respect de la planète.
"Le partage d’outils, de techniques, l’échange de plans, de fruits de légumes, l’entraide, la formation et l’information, le ramassage des déchets sauvages, l’invention de produits biodégradables et la création de machines de recyclage….bref, cette assoc permet de regrouper tous ceux qui souhaite faire des économies, consommer mieux, se nourrir mieux , partager des techniques ..." Landry souhaite vivre dans cet univers collaboratif et écologique, il a donc pris la route à bord d'un vieux Combi VW pour faire le tour de l'Europe avec 3 missions en tête. Une mission écologique: Ramasser, peser, trier, recycler les déchets trouvés aux bords des routes empruntées sur plus de 25000 km.Une mission d'information : grâce aux réseaux sociaux Landry informera des actions possibles à réaliser sur le thème du recyclage et des astuces pour arriver au zéro déchet. Puis dernièrement la mission de découverte : en découvrant toutes les matières qui peuvent, demain, remplacer les polluants et trouver des moyens de créer et innover sur de nouveaux matériaux biodégradables. Aujourd’hui, Landry poursuit son périple en Europe ! Vous pouvez suivre son aventure sur son blog ci-dessous et participer au projet en effectuant un don. Dans un contexte peu optimiste pour la planète ou celle-ci a perdu la moitié de sa population d'espèces sauvages en 40 ans (wwf) , certains dédicacent leurs vies pour être acteur d'un monde meilleur. C'est le cas des sauveteurs d'éléphants de l'association "David Sheldrick Wildlife Trust" qui donnent corps et âme pour sauver les derniers éléphants d'Afrique. Ces héros du monde moderne combattent sans relâche les braconniers et tout individus mettant en danger la faune sauvage du Kenya. Un travail particulièrement difficile dans un pays ou un éléphant est tué toutes les 15 minutes pour son ivoire. Ceux- ci interviennent également après la mort d'un éléphant en récupérant les éventuels orphelins qui auront beaucoup de difficulté à vivre seul leur jeunesse. Les éléphants guéris et assez grands seront par la suite relâchés dans la nature. chaque 15 minutes, un éléphant est abattu pour son ivoire pour répondre à la demande des pays occidentaux. Grâce à l'organisme, plus de 200 éléphants ont été recueillis et plus d'une centaine à déjà pu être relâché. En 2015, 168 éléphants ont également pu recevoir des soins.
Mais l'organisme ne se réduit pas seulement au sauvetage, en effet la DSWT a permis l'arrestation de plus de 1000 braconniers ainsi que le retrait de 140 000 pièges. Un travail extraordinaire réalisé par une équipe de passionnés. Vous pouvez apporter votre soutien à cette organisme en adoptant un éléphanteau pour 50 dollars par an ou tout simplement en faisant un donc ponctuel. Les dons recueillis participent à l'achat de nourriture pour les éléphants ainsi qu'aux programmes de défense. |
SUjets
Tous
|