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Les marques éthiques fleurissent en France et partout dans le monde. Des créateurs, des producteurs et des consommateurs se mobilisent contre la Fast Fashion, cette industrie du textile qui produit toujours plus, à moindre coût mais avec un impact environnemental et social catastrophique.
Toutefois, la première barrière à la mode éthique c'est le prix. Certaines marques ne sont tout simplement pas accessibles pour une partie de la population. Hopaal a décidé de faire bouger les choses. Cette marque de vêtements éthiques est implanté depuis 4 ans en France et a décidé, cette année, de relever un nouveau défi, celui de démocratiser la mode responsable. De ce fait, Hopaal lance DemocraTee, le premier tee-shirt recyclé et produit en France vendu à prix coutant soit 24 euros. Un tee-shirt simple et intemporel qui est fait pour durer. Le prix couvre uniquement les coûts de production du tee-shirt en question, sans prendre en compte les coûts liés (loyers, amortissements, investissements). Un geste fait par tous les acteurs de la chaine pour proposer un vêtement plus accessible. On peut dire que le succès est au rendez-vous. 16 jours avant la fin de la campagne de financement, l'objectif premier des 5000 euros a été très largement atteint avec 54 000 euros, soit 1 096% de l'objectif ! Près de 2 000 tee-shirts ont été commandé! Découvrez la campagne de financement ici :
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Le Jeune Engagé participe pour la deuxième année au défi "Février Sans Supermarché" lancé par En Vert Et Contre Tout ! Après le succès de l’opération collective « Février sans supermarché » de 2017, 2018 et 2019… on remet ça en 2020!Le but de ce défi? Encourager les commerces indépendants, redécouvrir les épiceries de quartier, soutenir les petits producteurs, favoriser la vente en vrac et le commerce local, repeupler les marchés ou encore réapprendre à n’acheter que l’essentiel. Mais c’est également l’opportunité de faire savoir aux grandes surfaces que nous ne sommes pas d’accord avec le sur-emballage, le kilomètre alimentaire qui explose les scores ou les politiques de prix qui écrasent les petits producteurs et tuent le commerce de proximité. EN 2018, PLUS DE 20’000 PERSONNES EN SUISSE ET EN FRANCE ONT PARTICIPÉ AU DÉFI, en 2019, LA BELGIQUE A FAIT EXPLOSER LES SCORES! Pour faciliter la démarche, différents groupes régionaux Facebook se mettent en place. Ces plateformes d’échange permettent à chacun de solliciter l’aide des autres membres, de partager conseils, recettes et bonnes adresses de sa région afin d’encourager les producteurs locaux, les commerces indépendants et susciter une réflexion sur notre mode de consommation. « Février sans supermarché » est avant tout un défi solidaire! Nous ne recevons aucun financement et notre travail est bénévole. Faire au mieux !
Voici les groupes et événements déjà mis en place, n’hésitez pas à y adhérer et à inviter vos connaissances! SUISSE Bern sans supermarché Bienne sans supermarché La Broye sans supermarché La Côte (VD) sans supermarché Chablais sans supermarché Fribourg sans supermarché Genève sans supermarché Jura / Jura Bernois sans supermarché Lausanne sans supermarché Neuchâtel sans supermarché Nord vaudois sans supermarché La Riviera (VD) sans supermarché Valais sans supermarché Val-de-Travers sans supermarché Zürich sans supermarché QUÉBEC Montréal sans supermarché FRANCE Ain sans supermarché Alpes de Haute-Provence sans supermarché Alpes Maritimes sans supermarché Aquitaine sans supermarché Ariège sans supermarché Bouches-du-Rhône sans supermarché Bourgogne sans supermarché Côtes-d’Armor sans supermarché Finistère sans supermarché Ille-et-Vilaine sans supermarché Morbihan sans supermarché Drôme sans supermarché Franche-Comté sans supermarché Le Gers sans supermarché Grenoble sans supermarché Hautes-Alpes sans supermarché Haute-Savoie sans supermarché Les Landes sans supermarché Languedoc-Roussillon sans supermarché Lille / Hauts-de-France sans supermarché Limousin sans supermarché Loir-et-Cher sans supermarché Loire Atlantique sans supermarché Région lyonnaise sans supermarché Maine et Loire sans supermarché Midi-Pyrénées sans supermarché Moselle sans supermarché Normandie sans supermarché Paris / Île de France sans supermarché Picardie sans supermarché La Réunion sans supermarché Sud / PACA sans supermarché Saint-Etienne sans supermarché Savoie / Tarentaise sans supermarché Strasbourg sans supermarché Val d’Argent sans supermarché Var sans supermarché Vaucluse sans supermarché Les Vosges sans supermarché BELGIQUE Andenne sans supermarché Anvers sans supermarché Braine-Le-Comte sans supermarché Bruxelles sans supermarché Charleroi sans supermarché Gand sans supermarché Genappe sans supermarché La Louvière sans supermarché Leuven / Louvain sans supermarché Liège sans supermarché Mechelen / Malines sans supermarché Mons sans supermarché Namur sans supermarché Nivelles sans supermarché Ottingnies Louvain-La-Neuve sans supermarché Philippeville sans supermarché Tournai sans supermarché Wavre sans supermarché Si vous voulez créer un groupe pour votre région, il suffit de nous envoyer un message ici: coucou [at] envertetcontretout.ch Depuis plusieurs semaines, les jours chauds apparaissent, l'été arrive à grand pas. Une période ou l'on ouvre les placards pour sortir nos vêtements estivaux et ou l'on range les manteaux. Pour beaucoup, c'est aussi la période des sorties en ville pour faire les magasins et refaire sa garde-robe. Toutefois, bien que l'on puisse se faire plaisir en achetant de nouveaux vêtements, la planète n'apprécie pas. En effet, l'industrie du textile est la deuxième industrie la plus polluante après celle des transports. 18% de tous les pesticides sont englouties par la production, et cette dernière génère 10% des gaz à effet de serre. Le premier constat est de voir qu'il y a une nécessité de stopper cette frénésie de l'achat de vêtements neufs. Il faut mettre un terme à la fast-fashion du type Zara ou H&M qui change de collection tous les 15 jours pour pousser à l'achat. Cependant, nous aurons toujours besoin de nous vêtir, il y a donc un besoin de repenser complètement notre façon de produire. C'est le défi que s'est lancé Shak and Kai*, en créant une ligne de vêtements 100% recyclés et made in Europe. En effet, Morgann, un jeune belge, diplômé d'une école de commerce, a fait le constat que chaque année 80 milliards de vêtements sont produits dans le monde. Mais au même moment nous en jetons 100 millions de tonnes, dont 95% pourrait être recyclés. Pour contrer ce fléau, ce jeune a décidé d'être acteurs du changement en proposant une marque alternative, respectant une économie circulaire et éthique. Passionné de surf, il souhaite créer le futur du vêtement surfwear. Si le défi est de taille, la motivation et la détermination de Morgann, que nous avons pu contacter par téléphone, assure un bel avenir pour la marque, mais aussi pour le futur du textile. Plus concrètement, Shak and Kai a le projet d'utiliser pour ces vêtements 50% de chute de coton, c'est à dire les pièces qui seraient jetées par l'industrie classique, et 50% de polyester issu du recyclage des bouteilles en plastique, permettant de solidifier le textile. Au final, cette production nécessite que 50 litres d'eau par pièce contre 2500 litres pour un tee-shirt conventionnel, et bien sûr sans aucun pesticide ni produits chimiques. La production se veut 100% européenne pour assurer une fabrication éthique. Le fil et les boutons sont réalisés en Espagne et la confection se fait au Portugal. Pour finir, la marque de surfwear a décidé de faire un partenariat avec Surfrider pour nettoyer les océans. Pour chaque vêtement acheté, 1/2 kilo de déchets est ramassé sur nos plages. Pour voir le jour, la marque circulaire a décidé de lancer une campagne de crowdfunding pour démarrer la production. En 48h, Shak and Kai a dépassé le seuil pour débuter la confection. Mais la marque de surfwear souhaite aller encore plus loin en dépassant les 200% pour pérenniser l'activité de la marque et proposer plusieurs pièces. Si vous souhaitez soutenir cette jeune entreprise, ou bien acheter des vêtements durables ( confection et temps de vie), cliquez sur le lien ci-dessous pour soutenir la campagne de financement. Sources : Shak and Kai https://www.huffingtonpost.fr/2015/11/29/impact-textile-environnem_n_8663002.html * Aucun accord commercial avec l'entreprise citée. Aujourd'hui, la plupart des décès sont suivis par la crémation du corps, c'est-à-dire que celui-ci sera brûlé à plus de 1 200 degrés pour permettre de récupérer les cendres du défunt. Peu souvent évoqué, ce processus très énergivore a un impact important sur l'environnement. Bien qu'il soit délicat de remettre en cause une technique qui se produit après la mort, des alternatives naissent pour permettre le respect du défunt tout en limitant l'impact sur la planète. Quel est le comble pour un écologiste? Probablement de polluer lors des ces derniers instants sur Terre. On constate que la crémation, qui est devenu technique courante, a un impact considérable, compte tenu de la nécessité d'une température élevée. Une seule crémation serait l'équivalent en énergie d'un aller-retour Montréal-Vancouver (2x Largeur de l'Amérique du Nord) soit 7 700 km. C'est là que la technique d'Aquamation entre en jeu. Ce processus n'utilise pas le feu mais bien l'eau. Le corps se retrouve plongé dans une eau mélangée à des produits alcalins c'est-à-dire du sodium ou du potassium permettant une décomposition rapide. Ce processus consomme 10 fois moins d'énergie et produit seulement 1 kg de Co2 contre 160 kg pour la crémation. Les produits utilisés sont inoffensifs pour la planète, l'eau rejoint les eaux usées domestiques pour être retraitée. L'aquamation devient populaire au Canada à travers l'entreprise Lesieur qui a déjà réalisé plus de 450 aquamations depuis son lancement, et voit les demandes se multiplier rapidement. Ce processus est déjà possible en Australie depuis 2010 et bientôt disponible en Californie dès 2020. En France, la législation ne permet pas encore l'utilisation de l'eau. Cependant, pour le responsable de l'entreprise Lesieur, l'aquamation est l'avenir d'ici les 20 prochaines années. Pour terminer sur une note de vie, l'entreprise propose une urne biodégradable (Bios) où les cendres sont mélangées à des graines permettant à celles-ci d'être plantées pour faire pousser un arbre. De quoi faire un dernier geste à notre planète avant de la quitter. Nouvel article de notre partenaire suisse « En Vert Et Contre Tout » créé par Leïla Rölli Chroniqueuse, journaliste freelance et blogueuse suisse ! La lutte anti jetable vient de gagner une alliée de prestige en la personne de Sa Majesté la Reine Elisabeth II!
En effet, Buckingham Palace a annoncé que les pailles en plastique et les bouteilles en P.E.T. seront désormais interdites sur l’ensemble des domaines royaux, dans le cadre d’un nouveau plan de gestion des déchets. Ainsi, les salles à manger du personnel et les cafés publics ne proposeront plus ces objets jetables et les récipients à emporter non réutilisables seront obligatoirement compostables ou recyclables. Seules les tasses en papier ou en porcelaine seront autorisées au palais de Buckingham, au château de Windsor et au palais Holyroodhouse d’Édimbourg. Selon The Telegraph, la Reine aurait été inspirée par son ami de longue date, le naturaliste Sir David Attenborough, après qu’ils aient travaillé ensemble sur un documentaire consacré à la vie sauvage dans le Commonwealth. Sachant qu’ils sont tous deux âgés de 91 ans, c’est bien la preuve qu’il n’y a pas d’âge pour penser au futur de la planète! Un porte-parole du Palais a déclaré: «Dans l’ensemble de l’organisation, la famille royale s’est engagée à réduire son impact sur l’environnement. Dans ce cadre, nous avons pris un certain nombre de mesures pratiques pour réduire l’utilisation des plastiques ». Si même Lilibeth s’y met… Et vous? Avez-vous banni le plastique de vos habitudes? Pour plus d'actualités écolo, visitez le site de notre partenaire green! ![]() Chaque jour, plus de 500 millions de pailles sont utilisées aux Etats-Unis uniquement. Cet objet, fort agréable pour siroter son cocktail est non recyclable compte tenu de sa petite taille. Si celui-ci n'est pas incinéré, il a de grande chance de finir dans nos océans. Un fléau écologique qui participe à la pollution marine. Si d'ici 2050 rien n'est fait, il y aura plus de plastique que de poissons dans nos océans. Pourtant, il existe plusieurs alternatives pour éviter les pailles en plastique, l'entreprise Loliware a décidé de relever le défi en créant la toute première paille comestible. Bois ton verre et mange ta paille.Manger le contenant après après avoir fini de manger n'est-il pas la meilleure façon de réduire de façon considérable notre production de déchets?. Aujourd'hui, la plus grande partie de nos déchets est produite durant notre consommation alimentaire, d'autant plus qu'avec l'apparition de café et de restaurants "rapide", les cups, pailles et emballages sont devenus des objets du quotidien.
L'entreprise américaine Loliware a décidé de combattre ce fléau en inventant des objets comestibles après utilisation. Cette entreprise créée par deux entrepreneures américaines a vu le jour en 2015 avec les premiers verres comestibles disponibles en 4 saveurs différentes. Dès sa sortie, les verres ont eu beaucoup de succès et se retrouvent désormais dans plusieurs grands hôtels et entreprises américaines. Récemment, Loliware a décidé d'aller plus loin en lançant la toute première paille comestible. Cette paille est donc sans plastique, comestible, compostable et 100% naturelle. Les deux fondatrices de Loliware sont actuellement en campagne de financement sur la plateforme Kickstarter dans le but d'amasser les 30 000 dollars pour lancer la production. En France, l'association Bas Les Pailles milite pour l'interdiction des pailles en plastique dans le pays via une pétition en ligne rassemblant plus de 40 000 personnes. Ces innovations promeuvent l'idée que nous pouvons nous passer du plastique jetable sous toute ses formes. Pour y arriver, le consommateur doit le plus souvent refusé son utilisation (pailles, sacs, cup..). J-25, Noël se rapproche rapidement. Les grandes enseignes ont déjà sorti une ribambelle de chocolats et de parfums. Le mois de décembre est évidemment un mois très privilégié pour la consommation à outrance. Pour autant, pleins de belles alternatives existent pour faire plaisir à ses proches tout en veillant sur son impact social et environnemental. Le Jeune Engagé a donc décidé de mettre en valeur jusqu'à Noël, les alternatives écoresponsables qui devraient se retrouver sous votre sapin. Le SAvon LUsh pour contrer la déforestation en malaisie.La marque de produits pour le corps Lush lance aujourd'hui un savon en forme d'orang-outan dans le but de sensibiliser sur le fléau de la déforestation causée par l'huile de palme. 14 600 savons sont en vente en édition limité représentant les 14 600 derniers orangs-outans sur l'île de Sumatra. De plus, un shampoing solide "SOS" est également disponible. Tous les bénéfices de cette campagne seront reversés à la Sumatran Orangutan Society dans le but de financer le rachat de 50 hectares de terres. Ces 50 hectares anciennement consacrés à la production d'huile de palme sont situés à Bukit Mas, à la frontière de la forêt primaire. La SOS estime qu'il est important d'utiliser ces 50 hectares comme zone tampon, de façon à empêcher l'agriculture d'empiéter sur la forêt autant qu'elle le fait actuellement. Cela signifie aussi que cette zone, actuellement vide de toute faune et flore sauvage, redeviendra un habitat à biodiversité riche pour de nombreuses espèces menacées. Ce terrain sera rendu à la nature. "Aujourd'hui, les forêts indonésiennes continuent d'être victime de l'une des destructions les plus rapides du monde : en cinq ans seulement, de 2008 à 2013, pas moins de 80 316 hectares de forêts ont été rasés."
La situation devient catastrophique en Indonésie et particulièrement à Bali. Cette île de beauté, très prisée par les touristes, subit un enjeu de taille sur la gestion des déchets. Hébergeant 4 millions de balinais et accueillant autant de touristes par an, ce sont 13 000 mètres cubes de déchets qui sont déversés dans les décharges. La gestion de ses déchets et très mal organisée, et si malgré tout, des camions font la récolte, très souvent ces déchets finiront dans la rivière la plus proche. Une solution à court terme qui aura de graves conséquences sur le pays ainsi que sur nos océans. La pollution des terres et cours d'eau est responsable de la prolifération de nombreuses maladies dont la dengue. D'autant plus que l'insalubrité de l'eau met en danger les enfants. Ce plastique finira par évidence dans l'océan. Rappelons que si rien ne change, en 2050 il y aura plus de plastique en mer que de poissons. Pour autant, le changement est possible pour préserver un pays si riche en biodiversité. Un entrepreneur indonésien l'a très bien compris et a décidé de lancer sa compagnie dans le but de trouver des alternatives au plastique. Kevin Kumala est un jeune ecoEntrepreneur qui a lancé AVANI, une entreprise qui produit du matériel de cuisine et des sacs en bioplastiques totalement compostables. L'entreprise s'est fait connaitre quand son fondateur a dissous un sac Avani dans de l'eau et en a bu le contenu. Un coup de communication pour expliquer que le bioplastique fait à partir de végétaux tel que le cassava, le blé ou encore la fibre de canne à sucre est une solution zéro déchet pour le pays. L'entreprise compte ainsi affronter l'industrie du plastique ainsi que les entreprises soi-disantes "éco-friendly" fabriquant des sac biodégradables qui en réalité renferment du pétrole. Les sacs en bioplastique d'Avani ont la texture et la rigidité du plastique et bien que ils ne soient pas les précurseurs dans ce domaine, ils sont les premiers a avoir passer le test sanitaire de non-toxicité pour les animaux. Avani est une solution durable pour le pays qui doit répondre à un tourisme de masse et doit réussir à le transformer en tourisme durable. L'entreprise espère réussir son expansion dans les autres pays asiatiques également très menacés par les déchets plastique. Vous pouvez également avoir un impact sur la réduction des déchets lorsque vous voyagez. Evitez d'utiliser des sacs en plastique pour un rien, munissez-vous de pailles en bambou et parlez-en aux restaurants que vous visitez. Le tourisme est très important pour nombreux pays, un tourisme éco-responsable se mettra en place quand la demande sera importante.
Ce jeune français a eu l'idée de ce projet après avoir été déçu de l'univers de l’ingénierie le jugeant trop "tourner vers le business " et « m’as-tu vu ». Il décide donc de créer son association ; La PECC qui a pour but de créer un mouvement collaboratif en associant la consommation et l’innovation du monde actuel avec le respect de la planète.
"Le partage d’outils, de techniques, l’échange de plans, de fruits de légumes, l’entraide, la formation et l’information, le ramassage des déchets sauvages, l’invention de produits biodégradables et la création de machines de recyclage….bref, cette assoc permet de regrouper tous ceux qui souhaite faire des économies, consommer mieux, se nourrir mieux , partager des techniques ..." Landry souhaite vivre dans cet univers collaboratif et écologique, il a donc pris la route à bord d'un vieux Combi VW pour faire le tour de l'Europe avec 3 missions en tête. Une mission écologique: Ramasser, peser, trier, recycler les déchets trouvés aux bords des routes empruntées sur plus de 25000 km.Une mission d'information : grâce aux réseaux sociaux Landry informera des actions possibles à réaliser sur le thème du recyclage et des astuces pour arriver au zéro déchet. Puis dernièrement la mission de découverte : en découvrant toutes les matières qui peuvent, demain, remplacer les polluants et trouver des moyens de créer et innover sur de nouveaux matériaux biodégradables. Aujourd’hui, Landry poursuit son périple en Europe ! Vous pouvez suivre son aventure sur son blog ci-dessous et participer au projet en effectuant un don. Pas facile de limiter ses achats dans une société où la consommation excessive est devenue courante. Dans les magazines, la publicité ou encore en vitrine, la mode est très importante pour beaucoup d'entre nous. En effet, Nous achetons 2x plus de vêtements qu'il y a 20 ans. Malheuresement, cela n'est pas sans conséquences sur l'environnement. L'industrie de la mode est l'une des plus polluante au monde notamment du fait du "fast fashion", où les grandes enseignes vont changer jusqu'a 8 fois par an de collections. Résultats : On consomme plus, on jette plus. Le coton produit pour les vêtements consomme 25% des pesticides utilisés dans le monde et l'industrie pollue massivement les cours d'eau. Mais plusieurs alternatives existent pour consommer moins et mieux. Voici trois boutiques en ligne qui réunissent respect de l'environnement, éthique et durabilité. 1.Hopaal : Sauver le monde en s'habillant Cette première E-boutique est le parfait agencement entre style et respect de l'environnement. En effet, Hopaal se base sur une petite gamme de produits pour se focaliser sur un processus de fabrication écologique et éthique. Les tee-shirts, sweat-shirts et autres tote bags sont confectionnés grâce au recyclage de chute de coton et de bouteilles en plastiques. Résultat : 50 litres d'eau sont utilisés pour la fabrication d'un tee-shirt contre 2700 litres traditionnellement. En favorisant un recyclage qui permet de nettoyer la nature d'un plastique indésirable, Hopaal favorise également une réduction d'eau non négligeable pour une mode durable. L'entreprise ne s'arrête pas la, chaque fois que vous achetez un produit, 10% du prix de l'achat sera reversé à un des quatre projets que vous choisissez. Grâce à votre achat vous pouvez donc participer à la préservation des coraux en Indonésie , soutenir un patient du tiers-monde, nettoyer les montagnes françaises ou encore aider un micro-entrepreneur. Hopaal s'inscrit égalemement dans une production éthique où les vêtements produits en Inde respectent les travailleurs. Malgré un coût assez élevé et une petite gamme de produits, Hopaal est une solution dans l'achat éco-responsable et favorise la baisse de consommation pour consommer mieux. Note: 4.5/5 Boutique Hopaal 2. Veja : des chaussures repensées Si nous avons en tête une image négative quand à la production de chaussures notamment suite aux polémiques sur les conditions de travail chez Nike, Veja tente de redéfinir la production de baskets en alliant aux produits tendances, un élément durable. Dès les choix de produits primaires, Veja veille à ce que la provenance des matières vienne de lieux où le travailleur est respecté tout en limitant l'impact environnemental. Le coton biologique provient de régions brésiliennes où les plantations se mélangent aux cultures vivrières qui nourrissent les populations. Une production donc à échelle humaine assurant aux producteurs un meilleur niveau de vie. Le caoutchouc subit les mêmes règles ce qui limite la déforestation de l'Amazonie grâce à un achat à juste prix. L'entreprise est également en association avec Atelier Sans frontières qui promouvoie la réinsertion professionnelle. Si la marque peu encore se perfectionner sur les questions environnementales notamment avec le cuir, elle représente une belle alternative aux chaussures des grands groupes industriels. Note: 4/5 Boutique VEJA 3. LUSH: Fresh handmade cosmetics
Il ne s'agit pas d'une marque de vêtements mais son engagement pour la planète me pousse à l'ajouter dans le classement. Lush est une marque de produits cosmétiques fait main qui compte un bon nombre de magasins en France. L'entreprise se base sur des produits 100% végétarien, sans tests sur animaux et revendique des produits naturels. L'impact écologique est également diminué au maximum avec des pots en plastiques à ramener en magasins et des emballages recyclables lors des envois. Un bon deal pour prendre soin de sa peau tout en respectant la nature. Note: 4.5/5 Boutique LUSH |
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