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Depuis 2014, les selfies avec animaux sur Instagram ont bondi de 292% selon la société mondiale de protection des animaux. Une nouvelle tendance, très prisée chez les jeunes voyageurs voulant s'offrir de beaux souvenirs en s'immisçant dans le milieu naturel des animaux. Si, à premier abord, on peut considérer qu'il n'y a aucun mal à prendre une photo avec un animal, on constate qu'en réalité ces pratiques cachent une grande souffrance animale. Instagram a décidé de s'engager contre ce fléau. Des animaux devenus objets à selfie.Quelle est la conséquence des selfies pour les animaux? Ce processus tout à fait anodin apparait pour l'animal comme une interaction forcée. Si ces photos étaient quelque chose d'exceptionnel, cela n'aurait aucun incident surtout que de nombreux animaux sont très affectueux et se prêtent volontiers aux câlins, comme les paresseux. Cependant, les animaux vivent mal le fait d'être sans cesse manipulés et peut causer un grand stress pour ceux-ci. Le touriste ne reste pas assez de temps sur le lieu pour constater que ces animaux sont sollicités sans répit. De plus, si l'action de prendre une photo n'est pas considérée comme un acte cruel, le business qui se cache derrière l'est entièrement. De plus en plus de pays tropicaux font face à une augmentation du taux de braconnage d'animaux exotiques. Ces actes criminels vont notamment nourrir le marché du tourisme en vendant des animaux souvent bébés pour être utilisés comme objets à selfie. Cela peut prendre la forme d'un singe enchaîné au bord de la route en Indonésie, tout comme un faux refuge pour tigres en Thaïlande. Notons que les pays asiatiques font face à de multiples controverses quant à la maltraitance des animaux, notamment l'exploitation d'éléphants pour les "balades" des touristes ou bien l'utilisation de tigres pour les selfies pour lesquels ils sont souvent drogués. Que Fait Instagram?En constatant ce fléau, alimenté par la frénésie du like sur Instagram, la plateforme de partages de photos réunissant plus de 800 millions d'utilisateurs a décidé de s'engager. A partir d'aujourd'hui, l'utilisation de hashtags* utilisant des mots-clés faisant référence à des animaux sauvages déclencheront automatiquement une notification informant les utilisateurs de la maltraitance animale qu'induisent ces mises en scène en apparence innocentes.
Par exemple l'utilisation du hashtag #koalaselfie déclenchera le message suivant : « La maltraitance animale et la vente d'animaux en voie de disparition ou de certaines parties de leur corps n'est pas autorisée sur Instagram. Vous recherchez un hashtag qui pourrait être associé à des publications encourageant des comportements nuisibles pour les animaux ou l'environnement. » Les utilisateurs pourront par la suite "en savoir plus" en cliquant sur un lien. La plateforme ne souhaite pas révéler la liste des mots-clés ciblés ne voulant pas causé des détournements de photos. Pour autant, tous les mots-clés faisant référence à la vente d'animaux sauvages sont visés. Instagram s'engage suite à la révélation d'une enquête par National Geographic mettant en lumière un commerce illégal d'animaux sauvages pour répondre à la demande grandissante de selfies par les touristes. La plateforme souhaite aller encore plus loin en formant ses employés à reconnaitre des publications mettant en danger des espèces animales ( commerce, chasse, ..) et ainsi signaler toutes les publications promouvant la cruauté animale. Source : National Geographic. * Un hashtag est un signe(#) permettant de catégoriser une photo à l'aide de mots-clés : ( #Love #Indonésie #Fun #Summer #LeJeuneEngagé)
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J-25, Noël se rapproche rapidement. Les grandes enseignes ont déjà sorti une ribambelle de chocolats et de parfums. Le mois de décembre est évidemment un mois très privilégié pour la consommation à outrance. Pour autant, pleins de belles alternatives existent pour faire plaisir à ses proches tout en veillant sur son impact social et environnemental. Le Jeune Engagé a donc décidé de mettre en valeur jusqu'à Noël, les alternatives écoresponsables qui devraient se retrouver sous votre sapin. Le SAvon LUsh pour contrer la déforestation en malaisie.La marque de produits pour le corps Lush lance aujourd'hui un savon en forme d'orang-outan dans le but de sensibiliser sur le fléau de la déforestation causée par l'huile de palme. 14 600 savons sont en vente en édition limité représentant les 14 600 derniers orangs-outans sur l'île de Sumatra. De plus, un shampoing solide "SOS" est également disponible. Tous les bénéfices de cette campagne seront reversés à la Sumatran Orangutan Society dans le but de financer le rachat de 50 hectares de terres. Ces 50 hectares anciennement consacrés à la production d'huile de palme sont situés à Bukit Mas, à la frontière de la forêt primaire. La SOS estime qu'il est important d'utiliser ces 50 hectares comme zone tampon, de façon à empêcher l'agriculture d'empiéter sur la forêt autant qu'elle le fait actuellement. Cela signifie aussi que cette zone, actuellement vide de toute faune et flore sauvage, redeviendra un habitat à biodiversité riche pour de nombreuses espèces menacées. Ce terrain sera rendu à la nature. "Aujourd'hui, les forêts indonésiennes continuent d'être victime de l'une des destructions les plus rapides du monde : en cinq ans seulement, de 2008 à 2013, pas moins de 80 316 hectares de forêts ont été rasés." A l'occasion de la journée Mondiale du Recyclage, il est intéressant d'analyser les progressions du recyclage en Europe et plus précisément en France. En 2008, l'Union européenne s'était fixée comme objectif de recycler au moins 50% des déchets ménagers à l'horizon 2020. Un peu plus de 2 ans avant la date d'échéance, où en sommes-nous?
Dans un constat global, l'Union européenne se rapproche rapidement de son objectif avec 45% de déchets recyclés en 2015. Si l'on constate que ces chiffres sont prometteurs avec une progression dans tous les pays, la situation reste très disparate entre les pays européens. Si l'Allemagne est pionnière dans le domaine avec 66% de déchets recyclés, suivie de l'Autriche et de la Slovénie avec respectivement 56,9% et 54,1%, la France se retrouve en milieu de tableau avec seulement 39,5%. La Roumanie, Malte et la Grèce, quant à eux, sont très largement à la traîne avec moins de 15% de taux de recyclage ( 6,1% pour Malte). Si la plupart des pays européens ont progressé dans le domaine du tri, il est important de noter les efforts considérables de certains pays pour rattraper leur retard. En 10 ans, la Pologne a augmenté sa part de tri de plus de 36,9 points (dépassant la France), suivie de l'Italie avec 25 points et le Royaume-Uni avec 16,8 points. La France, elle, n'a pas su prendre des mesures assez efficaces pour améliorer son tri sélectif. En 10 ans, le tri a augmenté de 9,8 points seulement. Un manque de volonté politique fait stagner un pays qui a largement les capacités pour devenir pionnier dans le domaine. Il est important de rappeler que le processus de recyclage a un impact considérable dans la réduction de notre pollution. La valorisation des déchets a ainsi évité la production de 22,5 millions de tonnes de CO2, soit l'équivalent de 100% des émissions annuelles du transport aérien français. Les citoyens ont le pouvoir d'améliorer la façon dont la France valorise ses déchets. Cela commence bien sûr dans chacun de nos foyers, mais aussi dans notre communauté ( écoles, bureaux..) et également en faisant pression sur nos villes pour que le tri des déchets soit facilité et donc amplifié. Et vous? Quelles sont vos idées pour favoriser le tri ? Difficilement contestable, le smartphone a complètement révolutionné notre société, devenant un élément essentiel de notre vie quotidienne pour la plupart d'entre nous. Pourtant, cette révolution numérique n'a pas que des conséquences positives. La production de nos smartphones est souvent associée à des pratiques minières dangereuses, une consommation d'énergies polluantes, une utilisation de produits chimiques ainsi que l'utilisation de matériaux peu résistants participant à la création de nombreux déchets. Greenpeace a donc décidé de mener l'enquête pour dénoncer les pratiques polluantes et constater les avancées ambitieuses des géants du numérique pour en dévoiler un classement sur l'aspect environnemental des plus grandes firmes. Pour réaliser cette enquête, Greenpeace a mesuré trois critères essentiels de l'impact environnemental des entreprises. Premièrement, l'utilisation ou non d'énergies renouvelables pour la production et le stockage de données, la consommation en ressources premières (durabilité et recyclage) ainsi que l'utilisation ou non de produits chimiques. Le classement ci-dessus est donc le résultat de ces trois critères. APPle, Leader de l'energie verte.70 à 80% de l'empreinte carbone d'un téléphone est produite lors de sa réalisation. Malgré des efforts impressionnants de transition énergétique dans les bureaux et data center, la quasi-totalité des grandes entreprises sont dépendantes d'énergies "sales" dans le cadre de la production. Seul Apple s'est engagé à 100% d'énergies renouvelables dans sa chaîne de production. Dans ce domaine, Samsung est mauvais élève. Le plus grand producteur de téléphones au monde n'utilise que 1% d'énergies vertes. Les marques chinoises telles que Huawei, Oppo et Xiaomi sont en fin de file et doivent réaliser d'énormes progrès pour être eco-friendly. Finalement, Amazon refuse de manière douteuse, toute transparence quand à l'empreinte écologique de sa production. durabilité des ressources, menée par Fairphone.Le problème majeur sur le marché de l'électronique est la dangerosité de l'obsolescence programmée. Dans une logique de maximisation des profits, les entreprises sont poussées à utiliser des matériaux fragiles, de rendre difficile les mises à jour pour ainsi raccourcir la vie de nos smartphones et donc espérer vendre chaque année toujours plus. Dans cette logique dangereuse poussant à la surconsommation de ressources rares et en produisant toujours plus de déchets, Apple, Microsoft et Samsung avance dans la mauvaise direction comme la plupart des entreprises numériques. Toutefois, Fairphone ainsi que HP et Dell dans une seconde mesure sont les exceptions et travaillent dans le but de rendre leurs modèles réparables et upgradables. Outre ce problème, la production de téléphones participe naturellement à l'épuisement des ressources minières ainsi qu'a la création de déchets électroniques. Seul Fairphone s'est engagé dans l'utilisation de produits recyclés. Toutefois Dell et Apple ont pour objectif de consommer moins de matières premières. L'extraction de métaux rares est particulièrement dénoncée par les ONG jugée très polluante et dangereuse pour les travailleurs. Pour ce qui est des déchets, cette année le monde devrait produire plus de 65 millions de tonnes de déchets électroniques. La production de téléphones utilise également beaucoup de produits chimiques très nocifs pour l'environnement. En 2009, de multiples entreprises se sont engagées à arrêter l'utilisation de deux produits chimiques ( PVC,BFR). Aujourd'hui, Seuls Apple et Google ont définitivement banni ces produits. Ce classement permet donc de constater les avancées ( ou non) des grandes entreprises de smartphones dans le monde. Grâce à une pression des consommateurs de plus en plus concernés par les impacts sociaux et environnementaux de leurs produits, les entreprises réagissent. On peut donc affirmer que Fairphone et Apple ont pris de réels engagements pour la protection de l'environnement même si il reste de nombreux points perfectibles, pour ce qui est des entreprises chinoises, Amazon et Samsung on constate un manque d'actions incontestable et ont donc besoin de rapidement évoluer.
Toutefois, le meilleur moyen de limiter son impact environnemental et social dans le domaine du numérique est de ne pas céder aux tentations et ainsi changer d'appareils tous les ans. Notre surconsommation de produits hi-techs pourrait rendre insignifiant les progrès apportés par les entreprises. Ce n'est peut-être pas si terrible de ne pas avoir le dernier iPhone 8. Pensez-y. Source : Guide to Greener Electronics 2017 Greenpeace Le 10 octobre prochain, Mcdonalds France lance son burger végétarien pour une durée limitée en espérant séduire les végés et ainsi, développer un marché en plein essor. Un dilemme apparait donc pour les consommateurs végétariens : Doit-on soutenir une alternative végétarienne (la première en France dans les Fast-foods traditionnels) ou bien refuser de participer à une entreprise symbole d'un capitalisme sans pitié ? Il faut soutenir la transition végé.Pour certains, cette nouvelle proposition de burgers chez McDonalds est une belle victoire. Les français mangent de moins en moins de viande et la tendance est au végétal. Bien que McDonalds n'ait pas, comme par magie, décidé de devenir une entreprise respectueuse de l'environnement et des animaux, le fait qu'elle suive la tendance de consommation des français est une bonne chose. Cette stratégie marketing fait écho au pouvoir du consommateur sur les entreprises. En achetant ce nouveau burger chez Mcdo, on affirme la volonté de voir un réel changement dans la restauration rapide avec la possibilité d'avoir des alternatives végétariennes ou végétaliennes (Finlande). D'autant plus que ce nouveau burger est à durée limitée, et seul son succès lui garantira sa place a coté du Big Mac. Finalement, certains omnivores seront probablement tentés par cette alternative, et ainsi le cliché du "mangeur de graine" sera voué à disparaître. Les partisans du McVeggie sont donc en faveur d'une évolution du géant du burger vers des pratiques plus durables. Ils sont conscients que l'entreprise ne peut pas changer drastiquement du jour au lendemain, et donc ce burger est un bon début. Cela dit, il ne s'agit pas d'abuser sur sa consommation, bien qu'il soit végétarien, il n'est pas pour autant diététique. Beurk, pas mcdo.Pour d'autres, le choix est plus tranché. Ils ne mettront pas les pieds chez McDonalds. Si la marque décide aujourd'hui d'évoluer, certains n'oublient pas ce qu'elle représente : symbole du capitalisme américain, de la malbouffe et du suremballage. Il ne faut donc pas soutenir une entreprise aux pratiques douteuses seulement parce que celle-ci pratique du greenwashing, c'est à dire de la séduction "verte" dans le but de se donner une image plus environnementale.
Pour eux, il n'y a aucun point positif à soutenir une entreprise aux produits gras et malsains. Il est préférable de soutenir des burgers végétariens dans les petites enseignes et autres bistrots. Il y a donc deux façons de voir les choses en tant que consommateurs. Et vous qu'en pensez-vous ? Cette semaine, les chefs d'Etats membres de l'ONU se rassemblent à New York pour une convention annuelle. Si hier, le discours agressif de Donald Trump a fait la une des journaux, une idée très interessante se fait plus discrète. Le site Lad Bible en partenariat avec Plastic Oceans foundation souhaite faire reconnaitre le continent de déchet comme le 196ème Etats du monde. Au large du pacifique s'est formé un amas de déchets qui serait aujourd'hui équivalent à la superficie de la France, soit 600 000 km2. Une catastrophe environnementale qui prend sa source avec les 8 millions de tonnes de plastiques jetées en mer chaque année soit l'équivalent d'un camion-benne toutes les minutes.
Complètement ignoré par les gouvernements, des citoyens ont décidé de prendre action pour que ce "continent" disparaisse au plus vite. Le site LAD Bible et Plastic oceans Foundation se sont associés pour tenter de faire reconnaitre Les Iles Poubelles ( Trash Islands) comme 196eme Etat à L'ONU. Pourquoi cette idée farfelue? Premièrement, en reconnaissant cet espace comme un Etat, les différents gouvernements ne pourront plus ignorés les faits et devront reconnaitre que des mesures doivent être prises. De plus, Les Iles Poubelles seront protégées par la charte environnementale de l'ONU qui impose à tous les pays de respecter des normes. En d'autres mots, en étant reconnues comme un Etat, les Iles Poubelles devront être nettoyées par les pays de l'ONU. Comment faire reconnaitre les Iles Poubelles comme Etat? Selon l'article 1 de la convention de 1993, un Etat reconnu doit avoir : un territoire défini, un gouvernement, une population permanente (ouvert à de multiples interprétations) et être capable d'interagir avec d'autres Etats. Si le territoire et le gouvernement ont été défini par les lanceurs, la détermination de la population doit encore être trouvée. C'est ici que vous pouvez contribuer à ce projet loufoque. En signant la pétition ci-dessous, vous acceptez de devenir un citoyen des Iles Poubelles. Rassurez-vous, vous n'avez pas besoin de déménager. La pétition sera utilisée comme appui à la candidature pour mettre en avant la volonté d'un grand nombre de citoyens dans la reconnaissance de ces iles. Les déchets plastiques sont une vraie aberration pour la planète. Si rien ne change, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans en 2050. Cependant, nous avons le pouvoir de faire changer les choses. Faire reconnaitre Les Iles Poubelles est un premier pas. Toutefois, pour contrer la concentration de plastique dans les océans nous devons nous attaquer à la façon dont nous consommons avec excès. Evitons d'acheter des produits suremballés en interpellant les entreprises cancres. De plus, il faut favoriser au maximum le recyclage. Si cela peut sembler comme une évidence, il est important de rappeler que seulement 30% du plastique est recyclé aujourd'hui. La firme américaine Monsanto, spécialisée dans la vente de pesticides et d'organisme génétiquement modifié (OGM) est depuis bien longtemps au cœur du combat des écologistes. En effet, cette entreprise est pointée du doigt sur la nocivité de ses produits sur l'environnement et la santé. Ses pesticides seraient responsables de plusieurs maladies et allergies chez les agriculteurs et également les consommateurs.
Prenons l'exemple du Glyphosate, herbicide phare de la marque, se retrouvant dans le RoundUp a été jugé cancérogène probable par une agence de l'ONU. Lors d'une étude réalisée le mois dernier par Générations Futures, 100% des 30 personnes testées répondait positif à la présence de glyphosate dans leur urines. Le tribunal citoyen qui s'est tenu au début de cette année avait donc comme objectif de juger si la firme Monsanto pouvait être condamnée aux yeux de la loi. Pour ce faire 5 magistrats venus du monde entier (Argentine,Belgique,Canada, Mexique et Sénégal) ont auditionné 30 témoins, victimes, avocats et experts sur le sujet. Le résultat est sans appel. Monsanto est jugé responsable d'un crime contre l'environnement (écocide) et également d'atteintes aux droits humains avec 4 produits de la firme pointés du doigt: -les PCB qui font partie des douze Polluants organiques persistants (POP) et affectent la fertilité humaine et animale ; -le 2,4,5 T, l’un des composants de l’agent orange contenant de la dioxine qui fut déversé par l’armée américaine pendant la guerre du Vietnam et continue de provoquer malformations congénitales et cancers ; -le lasso, un herbicide aujourd’hui interdit en Europe ; -le roundup, l’herbicide le plus utilisé au monde, qui est à l’origine de l’un des plus grands scandales sanitaires et environnementaux de l’histoire moderne. Ce désherbant très toxique est associé aux monocultures transgéniques, principalement de soja, maïs et colza, destinées à l’alimentation animale ou à la production d’agro-carburants Le tribunal Monsanto souhaite également que le crime d'écocide soit reconnu par le droit international et puisse être condamnable. L'avis consultatif de ce tribunal va être transmis aux Nations unies, à la Cour pénale internationale, au comité des droits de l’homme ainsi qu'à la firme Monsanto pour que puisse être reconnue la responsabilité d’une entreprise dans la destruction de l’environnement. Cette procédure poussent également les victimes directes de la marque à utiliser des moyens juridiques pour obtenir gain de cause. En 2O12, un agriculteur avait gagné son procès contre Monsanto qui a été jugé coupable de la maladie neurologique de l'agriculteur ayant inhalé du Lasso, produit de la firme. Aujourd'hui, un des moyens les plus forts pour combattre ses entreprises destructrices de l'environnement (Monsanto,Bayer,Dupont..) c'est de favoriser au maximum l'agriculture biologique. En effet, grâce à l'agriculture certifiée AB, nous pouvons réduire considérablement l'utilisation de pesticides en France. Grâce à un changement de consommation, les produits biologiques sont en plein essor en France avec une croissance de 32%. Source . Monsanto-tribunal.org Le Monde La Relève et la Peste
Ce jeune français a eu l'idée de ce projet après avoir été déçu de l'univers de l’ingénierie le jugeant trop "tourner vers le business " et « m’as-tu vu ». Il décide donc de créer son association ; La PECC qui a pour but de créer un mouvement collaboratif en associant la consommation et l’innovation du monde actuel avec le respect de la planète.
"Le partage d’outils, de techniques, l’échange de plans, de fruits de légumes, l’entraide, la formation et l’information, le ramassage des déchets sauvages, l’invention de produits biodégradables et la création de machines de recyclage….bref, cette assoc permet de regrouper tous ceux qui souhaite faire des économies, consommer mieux, se nourrir mieux , partager des techniques ..." Landry souhaite vivre dans cet univers collaboratif et écologique, il a donc pris la route à bord d'un vieux Combi VW pour faire le tour de l'Europe avec 3 missions en tête. Une mission écologique: Ramasser, peser, trier, recycler les déchets trouvés aux bords des routes empruntées sur plus de 25000 km.Une mission d'information : grâce aux réseaux sociaux Landry informera des actions possibles à réaliser sur le thème du recyclage et des astuces pour arriver au zéro déchet. Puis dernièrement la mission de découverte : en découvrant toutes les matières qui peuvent, demain, remplacer les polluants et trouver des moyens de créer et innover sur de nouveaux matériaux biodégradables. Aujourd’hui, Landry poursuit son périple en Europe ! Vous pouvez suivre son aventure sur son blog ci-dessous et participer au projet en effectuant un don. Pas facile de limiter ses achats dans une société où la consommation excessive est devenue courante. Dans les magazines, la publicité ou encore en vitrine, la mode est très importante pour beaucoup d'entre nous. En effet, Nous achetons 2x plus de vêtements qu'il y a 20 ans. Malheuresement, cela n'est pas sans conséquences sur l'environnement. L'industrie de la mode est l'une des plus polluante au monde notamment du fait du "fast fashion", où les grandes enseignes vont changer jusqu'a 8 fois par an de collections. Résultats : On consomme plus, on jette plus. Le coton produit pour les vêtements consomme 25% des pesticides utilisés dans le monde et l'industrie pollue massivement les cours d'eau. Mais plusieurs alternatives existent pour consommer moins et mieux. Voici trois boutiques en ligne qui réunissent respect de l'environnement, éthique et durabilité. 1.Hopaal : Sauver le monde en s'habillant Cette première E-boutique est le parfait agencement entre style et respect de l'environnement. En effet, Hopaal se base sur une petite gamme de produits pour se focaliser sur un processus de fabrication écologique et éthique. Les tee-shirts, sweat-shirts et autres tote bags sont confectionnés grâce au recyclage de chute de coton et de bouteilles en plastiques. Résultat : 50 litres d'eau sont utilisés pour la fabrication d'un tee-shirt contre 2700 litres traditionnellement. En favorisant un recyclage qui permet de nettoyer la nature d'un plastique indésirable, Hopaal favorise également une réduction d'eau non négligeable pour une mode durable. L'entreprise ne s'arrête pas la, chaque fois que vous achetez un produit, 10% du prix de l'achat sera reversé à un des quatre projets que vous choisissez. Grâce à votre achat vous pouvez donc participer à la préservation des coraux en Indonésie , soutenir un patient du tiers-monde, nettoyer les montagnes françaises ou encore aider un micro-entrepreneur. Hopaal s'inscrit égalemement dans une production éthique où les vêtements produits en Inde respectent les travailleurs. Malgré un coût assez élevé et une petite gamme de produits, Hopaal est une solution dans l'achat éco-responsable et favorise la baisse de consommation pour consommer mieux. Note: 4.5/5 Boutique Hopaal 2. Veja : des chaussures repensées Si nous avons en tête une image négative quand à la production de chaussures notamment suite aux polémiques sur les conditions de travail chez Nike, Veja tente de redéfinir la production de baskets en alliant aux produits tendances, un élément durable. Dès les choix de produits primaires, Veja veille à ce que la provenance des matières vienne de lieux où le travailleur est respecté tout en limitant l'impact environnemental. Le coton biologique provient de régions brésiliennes où les plantations se mélangent aux cultures vivrières qui nourrissent les populations. Une production donc à échelle humaine assurant aux producteurs un meilleur niveau de vie. Le caoutchouc subit les mêmes règles ce qui limite la déforestation de l'Amazonie grâce à un achat à juste prix. L'entreprise est également en association avec Atelier Sans frontières qui promouvoie la réinsertion professionnelle. Si la marque peu encore se perfectionner sur les questions environnementales notamment avec le cuir, elle représente une belle alternative aux chaussures des grands groupes industriels. Note: 4/5 Boutique VEJA 3. LUSH: Fresh handmade cosmetics
Il ne s'agit pas d'une marque de vêtements mais son engagement pour la planète me pousse à l'ajouter dans le classement. Lush est une marque de produits cosmétiques fait main qui compte un bon nombre de magasins en France. L'entreprise se base sur des produits 100% végétarien, sans tests sur animaux et revendique des produits naturels. L'impact écologique est également diminué au maximum avec des pots en plastiques à ramener en magasins et des emballages recyclables lors des envois. Un bon deal pour prendre soin de sa peau tout en respectant la nature. Note: 4.5/5 Boutique LUSH
Début décembre, Change.org a mis en oeuvre "Changez 2017" , un projet qui a débuté par une consultation citoyenne de grande ampleur. En effet, plus de 43 000 personnes ont répondu à 18 questions, soit plus d'un million de réponses sur plusieurs aspects concernant les élections présidentielles. Grâce à ce sondage, nous apprenons que les sujets qui tiennent le plus à cœur les utilisateurs sont la défense des droits humains, la protection de l'environnement et la justice sociale.
Suite à cette consultation, la plateforme met à disposition un espace sur son site pour permettre aux citoyens de lancer une pétition en rapport avec les élections. Quant aux candidats à la présidentielle, ils peuvent également se connecter et répondre aux pétitions qui leurs sont adressées. Dans un second temps, les utilisateurs de Change.org choisiront parmi les pétitions créées, celles qu'ils considèrent primordiales à évoquer lors des débats. Les deux ambassadeurs citoyens choisis Adrien Sergent et Johan Reboul auront le devoir de transmettre ces pétitions aux différents candidats. "Changez 2017" est une occasion unique de replacer le peuple au coeur du débat politique et éviter des comportements populistes, une désinformation et une démagogie trop fréquentes dans certains partis. |
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