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En 2019, la contestation contre la captivité des mammifères ne faiblit pas. Les parcs marins continuent de voir leur fréquentation s'effondrer. Depuis la sortie, en 2013, du documentaire choc " Blackfish", évoquant la vie déplorable des orques à SeaWorld aux Etats-Unis, la captivité est devenue un divertissement du passé. Après avoir perdu 1 million de visiteurs, SeaWorld a décidé, en 2016, de mettre fin à son programme d'élevage d'orques. En janvier 2018, l'Aquarium de Vancouver, au Canada, a annoncé l'arrêt de son programme de baleines et de dauphins en captivité.
Les nouvelles générations ont conscience que les animaux sauvages ne doivent pas être tenus captifs pour notre divertissement. En liberté, les orques et les baleines sont habitués à parcourir des milliers de kilomètres, chose qu'ils ne peuvent pas faire dans une piscine. Ce 10 juin, le Canada va encore plus loin en validant une loi historique. En effet, Le projet de loi S-203 interdira sur le sol canadien la reproduction, l’importation, l’exportation et les captures de dauphins, marsouins et autres cétacés, conformément au projet de loi 80 de l’Ontario, adopté le 28 mai 2015. Dans le pays, deux aquariums hébergent actuellement des cétacés captifs: l’aquarium de Vancouver en Colombie-Britannique et le Marineland du Canada, en Ontario. La loi ne sera pas rétroactive, c'est à dire qu'elle ne s'applique pas aux cétacés actuellement en captivité et donc ceux-ci le resteront. Aujourd'hui, les spectacles d'orques ou de dauphins sont dépassés. Nous devons mettre fin à des pratiques qui ne représente en aucun cas la protection de la biodiversité. Un orque ne devrait pas être dans une piscine à jouer avec un ballon. Il n'y a rien d'éducatif dans ces spectacles. Certaines espèces ne peuvent pas être au contact si proche de l'homme, nous devons l'accepter. Le seul moyen de faire fermer ces lieux, ou que ceux-ci évoluent, est de refuser d'y aller. En France, le parc de Marineland à Antibes détient toujours des orques et dauphins captifs malgré une forte opposition. Le gouvernement français refuse encore aujourd'hui de mettre un terme à la captivité des cétacés. La mobilisation doit donc persister. sources : Le Monde, Réseau-Cétacés
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